Les différences entre les filaments 1.75mm et 2.85mm

Les différences entre les filaments 1.75mm et 2.85mm Introduction Contexte historique Comparaison 1,75mm et 2,85mm Toujours du filament 2,85mm Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Aujourd’hui, pratiquement toutes les imprimantes 3D utilisent un filament de diamètre 1,75 mm ou de 2,85 mm. Mais pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi n’a-t-on pas utilisé d’autres tailles ? Pourquoi ces diamètres spécifiques sont-ils les standards d’aujourd’hui ? Si vous possédez ou désirez acheter une imprimante 3D, la question du diamètre du filament 3D peut-être important. En tout cas, il est important de comprendre que vous faites un choix et que celui-ci devra être respecté par la suite lors de l’utilisation de votre matériel. 1.75mm vs 2.85mmContexte historique Dans les années 1980, le pionnier de l’impression 3D lance ses premières imprimantes avec un diamètre proche de 1.75mm. En 2008, les brevets tombent et le marché s’ouvre pour de nombreuses entreprises qui commencent à commercialiser des imprimantes 3D de bureau. Étant donné qu’aucun fournisseur ne fabriquait de matériaux spécifiquement conçus pour les imprimantes 3D, la seule option à l’époque était de réutiliser des matériaux couramment disponibles. Les concepteurs et les opérateurs d’imprimantes 3D n’avaient donc qu’un choix extrêmement limité en termes de type et de format de matériaux. Ainsi, les premières imprimantes 3D de bureau utilisaient un filament de 3mm. Ce diamètre a existé un temps, et très vite est apparu les filaments 2,85mm (plus pratique que le 3mm) et les filaments 1,75mm qui étaient plus simples à entraîner. Rapidement, le filament de format 1,75 mm a gagné en popularité et est devenu de loin le format de filament le plus populaire disponible. 1.75mm vs 2.85mmAvantages et inconvénients de ces deux diamètres Mais quel format de filament est le meilleur ? Chaque filament présente des avantages. Avantages du diamètre 1,75mm ✔️ Le plus grand choix possible de types de matériaux et de couleurs ✔️ La plus grande disponibilité ✔️ Plus de flexibilité à température ambiante Avantages du diamètre 2,85mm ✔️ Un filament plus rigide pour l’extrusion de type Bowden ✔️ Extrusion plus rapide du matériau Le filament PLA a pour habitude de se fragiliser après avoir été exposé à l’humidité. Au fil du temps, le PLA devenait si fragile qu’il avait tendance à se casser s’il était tordu. Parfois, il devenait si fragile qu’il se fissurait lors d’une impression 3D, entraînant une défaillance de l’impression. Mais cet effet se produit moins sur les bobines de filament de 1,75 mm parce que le filament est plus capable de se plier lorsqu’il est déroulé. L’arrivée de marque comme Creality a révolutionné un marché en proposant des imprimantes 3D grand public à faible coût. Ils ont aussi pris le parti du filament 1,75mm malgré leur extrusion bowden. Ces choix ont aussi participé à l’émergence du filament 1,75mm ces dernières années. 1.75mm VS 2.85mmToujours du filament 2,85mm Le filament 2,85mm est resté avec le temps dans l’industrie pour les raisons suivantes : ✔️ Certaines imprimantes 3D de type Bowden fonctionnent mieux avec un filament plus rigide. ✔️ L’utilisation d’un filament flexible est plus facile s’il peut être même légèrement plus rigide, car il doit être poussé dans le hotend chaud. Un filament souple et fin peut échouer ✔️ Une utilisation d’imprimantes 3D professionnelles a augmenté l’utilisation de matériaux plus compatible en format 2,85mm. Le filament 2,85mm apporte encore aujourd’hui des avantages lors de l’utilisation de matériaux sur des imprimantes 3D professionnelles avec un tube Bowden. De même qu’on le retrouve et il est très recommandé dans l’impression 3D Métal car les filaments métal ont tendance à se casser facilement. Conclusion On retrouve toujours les deux diamètres dans le monde de l’impression 3D aujourd’hui. Le diamètre 1,75mm est utilisé sur les imprimantes 3D direct drive principalement et sur des imprimantes grand public en bowden principalement. Le diamètre 2,85mm est utilisé par des marques professionnelles qui tirent profil de la rigidité de ce diamètre pour développer et produire des systèmes d’extrusion professionnels et performants. Si vous avez un doute sur le choix du bon diamètre pour votre imprimante 3D, n’hésitez pas à contacter notre équipe qui vous accompagnera.
Le TOP5 des matériaux d’impression 3D les plus utilisés

Top 5 des matériaux d’impression 3D les plus répandus Introduction PLA PETG ABS Flexibles Nylon Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Si vous possédez une imprimante 3D vous savez qu’il existe de nombreux matériaux et il est souvent complexe de choisir le bon parmi ces derniers. Nous n’allons pas voir l’entièreté du catalogue de filaments 3D disponibles mais attardons-nous sur les 5 matériaux d’impression 3D les plus répandus. Top 5 matériaux impression 3DLe Filament PLA Le filament PLA est le plus connu de tous et représente plus de la moitié de la consommation mondiale. Pour quelles raisons ? Points positifs : Simplement, car il est très abordable et qu’il s’imprime très facilement. Disponible en de nombreuses couleurs, le PLA est parfait pour l’impression d’objets décoratifs et nous le recommandons fortement pour réaliser vos premières impressions et découvrir votre machine. Points négatifs : Le PLA est très cassant et résiste mal mécaniquement et très mal thermiquement (40/50°C). Il existe cependant des PLA plus résistant mécaniquement comme les filaments PLA Tough. Matériau impression 3D PLA Noir Forshape Premium – 1.75mm – 1kg Découvrir ce produit Matériau impression 3D PolyTerra PLA Blanc coton – 1.75mm – 1 kg Découvrir ce produit Top 5 matériaux impression 3DLe Filament PETG Le filament PETG est apparu depuis longtemps mais a connu une très grande croissance d’utilisation ces dernières années. Points positifs : Un matériau assez simple à imprimer. Vous le connaissez tous car c’est avec du PET que sont fabriquées les bouteilles d’eau. Il dispose d’un aspect brillant et légèrement translucide. Points négatifs : Il est cependant moins résistant thermiquement et mécaniquement qu’un ABS et translucide. Matériau impression 3D PETG Blanc Forshape Premium – 1.75mm – 1Kg Découvrir ce produit Matériau impression 3D PETG-CF Carbone Forshape Industrial – 1.75mm – 500g Découvrir ce produit Top 5 matériaux impression 3DLe Filament ABS Les filaments ABS sont très communs dans l’industrie et naturellement dans l’impression 3D où tout le monde a déjà entendu parlé de ce matériau. Points positifs : Il présente de très bonnes propriétés et résistances thermiques et mécaniques. Un dérivé (le filament ASA), permet d’imprimer des pièces résistantes en plus aux UV pour un usage extérieur. Points négatifs : Souvent difficile à imprimer car l’ABS se rétracte fortement lors de l’impression. Des variantes comme l’ABS-X Forshape limite ces effets indésirables. L’ABS est un matériau assez incompris et pour obtenir de bonnes performances lors de l’impression il est nécessaire d’utiliser une enceinte fermée au minimum. Matériau impression 3D ABS-X Gris Foncé (Iron Grey) Forshape Industrial – 1.75mm – 750g Découvrir ce produit Matériau impression 3D ABS CF Nanovia (renforcé en fibres de carbone) – 1.75mm – 500 g Découvrir ce produit Top 5 matériaux impression 3DLe Flexible Les filaments flexibles sont très utilisés dans le milieu professionnel et permettent de créer des mors de préhension (par exemple) ou des pièces techniques mêlant résistances aux chocs et souplesse. Points positifs : Le TPU est très intéressant par sa « souplesse » et sa capacité à reprendre sa forme initiale. Excellent pour de nombreuses applications. Points négatifs : Plus la dureté Shore est basse et plus une imprimante 3D direct drive sera nécessaire pour simplifier son impression. Matériau impression 3D TPU-98A Rouge Forshape Premium – 1.75mm – 400g Découvrir ce produit Matériau impression 3D Polyflex TPU-90A Noir – 1.75mm – 750 g Découvrir ce produit Top 5 matériaux impression 3DLe Nylon (PA) Les filaments Nylon ou Polyamide sont très utilisés dans le domaine professionnel. Ils nécessitent de solides connaissances de l’impression 3D mais offrent un matériau très résistant utile dans de nombreuses applications exigeantes. Points positifs : Le nylon est très résistant mécaniquement, thermiquement et chimiquement. Un candidat parfait pour l’impression de pièces techniques. Points négatifs : Il prend facilement l’humidité et est relativement difficile à imprimer. L’usage d’une imprimante 3D professionnelle est recommandé. Ce matériau est très courant et est souvent chargé en fibre de carbone pour lui apporter encore plus de résistances. Des imprimantes, comme la Raise3D E2CF, sont spécialisées dans l’impression de ces matériaux techniques et très présents dans l’industrie. Matériau impression 3D PolyMide PA6-CF Noir – 1.75mm – 500 g Découvrir ce produit Matériau impression 3D PA12 CF Noir Raise3D Industriel – 1.75mm – 1Kg Découvrir ce produit Conclusion Nous ne traitons ici que les matériaux les plus répandus et les plus utilisés dans le monde de l’impression 3D. Il existe de nombreux autres matériaux avec chacun leurs variations qui permettent de répondre à un très large éventail de besoins techniques. N’hésitez pas à contacter un de nos experts pour lui faire part de vos besoins et problématiques.
Mode vase dans Cura – Pourquoi et comment l’utiliser ?

Mode vase dans Cura – Pourquoi et comment l’utiliser ? Introduction Avantages et limites Comment utiliser le mode Vase ? Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Le mode Vase de Cura ou Spiralize Outer Contour est une astuce. Lors de l’impression couche par couche, la buse doit normalement se déplacer d’une couche à l’autre. Ce mouvement fait en sorte que la buse reste presque immobile pendant une fraction de seconde, ce qui laisse une couture sur la surface appelée couture Z. Ce paramètre a pour but d’éviter cela et bien plus encore. Il simplifie grandement le processus d’impression en supprimant de nombreux aspects de celui-ci. Lors de la spiralisation du modèle, le modèle n’aura pas de remplissage ni de sommets. Il n’aura qu’une paroi et un fond. Si l’option Contours spiralés lisses est activée, la hauteur de la buse sera progressivement augmentée au cours d’une couche. De cette façon, une spirale est créée en suivant le contour du modèle. Il n’y aura aucun mouvement en passant d’une couche à l’autre, car la buse s’est déjà déplacée progressivement vers la couche suivante. Filament 3D PLA Silk Or Forshape – 1.75mm – 1Kg Le PLA Silk Or de la marque Forshape offre un effet « soie », brillant et satiné magnifique qui sublimera vos impressions 3D. Découvrir ce produit Filament 3D PLA Glitter Bleu Forshape Premium – 1.75mm – 1Kg Le PLA Glitter Bleu 1.75mm est un filament PLA mélangé avec des particules scintillantes qui offrent une finition magnifique et originale à vos impressions 3D Découvrir ce produit Mode vase CuraAvantages et limites Le mode Spiralize est commun à de nombreux slicers. Il est aussi parfois appelé « mode vase », car il permet d’imprimer des vases. Voici quelques autres propriétés : – Imprime extrêmement rapidement. – La surface devient très lisse. Il n’y a plus de joint en Z à l’endroit où il est passé à la couche suivante si l’option Contours spiralés lisses est activée. – Il ne sera pas très solide. Si le modèle est trop grand, il a tendance à se fendre à cause de la paroi mince. – Bien que la suppression de la couture aide à rendre l’impression étanche, il est difficile d’obtenir l’impression étanche si elle a une taille quelconque. Pour cela, il est conseillé d’avoir au moins 2 parois. Spiraliser le contour extérieur est alors impossible. Spiralize ne fonctionne pas bien avec les impressions comportant de nombreuses surfaces horizontales. Il ne gère pas du tout les surplombs, et n’imprime pas les surfaces supérieures, donc rien ne pourra s’appuyer sur une surface horizontale. Mode Vase CuraComment utiliser le Mode Vase ? C’est très simple, pour utiliser et activer le Mode Vase de Cura, il suffit de vous rendre dans les paramètres et dans l’onglet « Modes spéciaux« . Cochez alors la case « Spiraliser le contour extérieur » et le tour est joué. Attention de bien prendre un objet qui se comportera correctement avec les limitations que nous avons vues avant. De même, prenez le temps d’analyser votre modèle 3D dans « Aperçu » avant de lancer votre impression. Conclusion Le mode Vase de Cura est parfait si vous avez acheté une imprimante 3D et que vous souhaitez réaliser des impressions sans couture. Vous obtiendrez des impressions très rapides et du plus bel effet. N’hésitez pas à nous laisser dans les commentaires vos réalisations.
Performances des filaments ignifugés par Raise3D

Performances des filaments ignifugés par Raise3D Introduction Les filaments gagnants Pourquoi utiliser ces matériaux Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Le fabricant Raise3D est un des leaders de la fabrication d’imprimantes 3D à dépôt de filament. Ils ont testé des matériaux afin d’examiner leurs différentes résistances et leur comportement lors de leur exposition aux flammes. Il existe de nombreux matériaux et certains d’entre-eux proposent des performances plus ou moins élevées à la température. D’autres répondent à des normes officielles comme la norme V0 ou UL94 qui justifient de leur capacité à être retardateur de flamme. Les filaments grands gagnants Si vous venez de consulter la vidéo, je pense que vous n’avez plus aucun doute sur la capacité des matériaux répondant à des normes de retard de flamme. Le Polymaker PolyMax™ PC-FR gagne largement l’expérimentation et c’est tout à fait normal. La combustion de l’échantillon s’est arrêté en a peine 10 secondes ce qui montre tout l’intérêt et les capacités de ce matériau qui répond à la norme V0. Plus généralement, les matériaux brandés avec le terme (FR : Flame Retardant) donnent souvent de très bons résultats. N’hésitez pas cependant à vérifier les normes dans les fiches techniques ou de sécurité afin de vous assurer que ces filaments ont subi des tests officiels permettant d’obtenir des certifications. On notera aussi des matériaux comme le PC-ABS Rail, qui est un matériau technique développé par le fabricant Français Nanovia et qui répond, en plus des normes antifeu, aux normes ferroviaires. Filament 3D PolyMax Tough PC-FR Noir 1.75mm – 1 kg Le filament PolyMax PC-FR Noir de Polymaker est un Polycarbonate retardateur de flamme avec la norme UV94V V0. Découvrir ce produit Filament 3D Nanovia PC-ABS Rail (EN 45545-2) – 1.75mm – 500 g Le Nanovia PC-ABS Rail est un filament normé NF EN 45545-2 spécifiquement conçu pour le secteur ferroviaire qui respecte les normes d’ininflammabilité et de non-dégagement de fumée. Découvrir ce produit Pourquoi utiliser un filament retardateur de flamme ? Le principal intérêt étant dans la sécurité des utilisateurs lors de l’utilisation du produit fabriqué à partir de ce filament. Dans de nombreux secteurs industriels, on retrouvera ces matériaux. Dans la conception de boîtiers électroniques par exemple, il sera toujours important d’utiliser des plastiques non inflammables. On retrouvera aussi ces besoins dans l’aérospatiale, l’aéronautique, l’automobile, etc. Conclusion Les imprimantes 3D professionnelles sont nécessaires pour imprimer des matériaux techniques comme des PC-FR ou des PC-ABS à cause de leur complexité d’impression. Le fabricant Raise3D qui propose cette expérimentation sur les filaments retardateur de flamme dispose d’une gamme de matériels permettant l’impression des matériaux technique, comme la Raise3D Pro3 ci-dessous. Imprimante 3D Raise3D Pro3 La Raise3D Pro3 est forgée dans les traces de la Pro2 avec vos lots de nouveautés et notamment un système de têtes d’extrusion indépendantes, le nivellement du plateau automatique et un Air Manager intégré pour la gestion de l’air et de la température à l’intérieur de l’imprimante 3D. Découvrir ce produit
Comment recuire le PLA pour améliorer vos impressions 3D ?

Comment recuire le PLA et améliorez vos impressions 3D Mauvaises performances du PLA Qu’est-ce que le Tough et Ultra PLA ? Pourquoi recuire le PLA ? Les prérequis pour recuire le PLA Méthodes de cuisson du PLA Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Le PLA est un matériau d’impression 3D fantastique : n’importe quelle imprimante 3D est capable d’imprimer du PLA. Les utilisateurs de tous niveaux d’expérience peuvent l’utiliser avec facilité, et il est disponible dans un nombre étonnant de couleurs. Mais chaque matériau a des caractéristiques différentes, et bien qu’il soit incroyablement utile, le PLA ne résiste pas aux températures élevées. Il suffit de laisser une impression en PLA dans une voiture chaude pour qu’elle se ramollisse et se déforme, et si vous vous trouvez dans un endroit suffisamment chaud, l’impression 3D peut s’effondrer sur elle-même ou rétrécir de façon étrange. Heureusement, il existe des dérivés de PLA et des méthodes pour améliorer les performances de votre filament préféré. Filament 3D PLA Ultra Noir Forshape Industrial – 1.75mm – 750g Le PLA Ultra Noir de la gamme Forshape Industrial est un matériau technique avec des propriétés comparables à celles de l’ABS après recuisson. Découvrir ce produit Filament 3D PLA Tough Blanc Forshape – 1.75mm – 750g Le filament PLA Tough Blanc est un filament PLA renforcé qui permet d’obtenir des propriétés mécaniques proches de celles de l’ABS. Découvrir ce produit Recuire PLAQu’est-ce que le PLA Tough et PLA Ultra ? Ce sont tout deux des améliorations du PLA standard. Ils sont composés en très grande partie comme le PLA et disposent de quelques additifs leur donnant des propriétés intéressantes. Le PLA renforcé (ou Tough), comme le PLA Tough Blanc de Forshape permet d’améliorer les propriétés mécaniques par rapport à un PLA standard. Celui-ci sera plus proche d’un ABS mais gardera la mauvaise résistance thermique du PLA. Le PLA Ultra (ou PLA-X), comme le PLA Ultra Forshape Industrial, est un matériau qui se rapproche du Tough mais avec une capacité naturelle pour être recuit et qui limitera la déformation lors de la cuisson. Nous sommes donc face à 3 types de PLA différents, avec des caractéristiques différentes et un comportement de cuisson (annealing) différent. PLA standard Le PLA Standard dispose de propriétés mécaniques et thermiques relativement faible. Recuisson : Améliore moyennement l’isotropie mécanique générale de l’impression et sa résistance thermique. PLA Tough Le PLA Tough a des résistances mécaniques plus proche de l’ABS et thermique relativement faible. Recuisson : La recuisson du Tough donne un matériau plus proche de l’ABS mécanique et thermiquement mais subira des déformations lors de la cuisson. PLA Ultra Un matériau à recuire et très proche de l’ABS une fois ces étapes réalisées. Recuisson : Le PLA Ultra est spécialement développé pour être recuit. Il profitera de résistances proches de l’ABS et ne subira que très peu de déformation lors de la recuisson. Recuire PLAPourquoi recuire le filament PLA ? Nous l’avons déjà vu depuis le début de cet article mais le PLA souffre de propriétés thermiques basses et de ce fait il résistera mal et ramollira dès 40/50°C. De plus, ce matériau bénéficie de propriétés mécaniques intéressantes tout de même. C’est celui qui sera le plus rigide et intrinsèquement le plus cassant. Cependant, comme tous les matériaux il subit une faible liaison inter couche après impression. La cuisson post impression permet de lier les couches entres-elles et va naturellement augmenter la résistance en Z du modèle 3D. Pour améliorer les qualités de nos impressions, nous devons réorganiser leurs chaînes moléculaires pour les rendre mieux rangées, c’est-à-dire, plus similaires aux polymères cristallins. Majoritairement toutes les impressions sont amorphes et une cuisson post impression permettra de rendre vos impressions cristalline (cela n’est pas toujours vrai, et dépend des matériaux et des procédés différents pour chacun). Recuire PLAPréparer vos impressions 3D avant cuisson Avant de lancer votre modèle en impression, il est important de bien préparer en amont votre pièce. En plus des précautions de nettoyage nous vous recommandons de faire attention au remplissage utilisé pour votre impression. Note : Si vous utilisez du PLA Ultra, vous pouvez garder un comportement d’impression « normal », ce matériau étant prévu pour être cuit, il ne subira que de légère déformation. Pour la PLA et le PLA Tough, nous vous recommandons de remplir à 100% votre impression et de choisir un motif de remplissage simple (comme la ligne) pour éviter au maximum des trous ou espace à l’intérieur de votre modèle. Une autre méthode, plus proche de l’impression métal reviendrait à mettre un nombre de coques infinies. Enfin, avant la cuisson, nous vous recommandons fortement de procéder au nettoyage complet de la pièce. Supprimer bien les supports et les traces ou résidus de colle que vous pourriez avoir sur votre modèle. Recuire PLAMéthodes de cuisson du PLA Effectuer la cuisson d’un objet imprimé en PLA est simple mais elle doit être réalisée correctement. Nous allons voir ici deux méthodes différentes. La première est adaptée au PLA Ultra Forshape et la seconde plus générique demandera d’avantages d’essais pour parvenir à de bons résultats. Cuisson du PLA Ultra 1. Préchauffez votre four à convection (ventilation-chaleur tournante) à précisément 110°C 2. Quand le four est chaud et la température stable, insérez rapidement votre objet imprimé (Astuces : conserver les supports pour la cuisson) dans le four et démarrez un minuteur. Nous recommandons de poser l’objet sur une feuille d’aluminium ou équivalent. Pour des petits objets avec des coques fines et un remplissage standard, programmez 20 minutes. Pour des objets plus grands avec des coques épaisses et davantage de densité, programmez 60 minutes. 3. Lorsque l’objet a terminé sa cuisson, ne retirez pas l’objet immédiatement mais laissez-le refroidir lentement dans le four éteint jusqu’à retomber à une température ambiante.. 4. Récupérez votre objet, (retirez les supports) et vous avez maintenant une pièce en PLA Ultra parfaitement recuite et cristallisée uniformément. Cuisson ou Annealing général Trouvez un récipient allant au four (comme un bol en verre ou en métal) plus grand que votre pièce imprimée en 3D et laissant au moins
Obtenir des pièces transparentes en impression 3D

Comment obtenir des pièces transparentes en impression 3D ? Introduction Qu’est-ce que c’est ? Choix technologique Paramétrages Post-traitements Conclusion LinkedIn Facebook Twitter WhatsApp Email Le besoin d’obtenir des pièces transparentes en impression 3D se fait souvent ressentir par nos clients qui en ont besoin dans des cas très précis d’utilisation. Les fabricants proposent des filaments et des résines de différentes coloris et avec lequel il est souvent facile d’arriver à vos fins en termes de finitions. Cependant, l’impression de pièces transparentes posent toujours question et il n’est jamais vraiment évident de savoir comment procéder. Nous allons tenter de vous répondre avec cet article dédié à l’impression 3D de pièces transparentes. Qu’est-ce qu’une impression 3D transparente ? Une impression 100% transparente sera compliqué à obtenir avec l’impression 3D. On parle plus souvent de pièces translucides dans le sens où les contraintes actuelles de l’impression 3D poussent le développement de pièces plus ou moins transparentes suivant la pièce et les paramètres choisis. On trouve ces pièces dans la conception de matériel lumineux, de lentilles et d’optiques ainsi que dans le domaine médical. Dans un but esthétique, la fabrique de contenants, de bouteilles ou de boitiers est souvent réalisée avec de la transparence. Obtenir des pièces transparentes avec l’impression 3D Pour obtenir des résultats de transparences intéressants avec l’impression 3D il faut d’abord se pencher sur la technologie en elle-même. La fabrication additive repose sur le principe de couches superposées les unes par rapport aux autres. Plus vous aurez des couches épaisses et moins votre modèle sera transparent. Ainsi, une question primordiale doit se poser avant même de choisir le bon matériau. Quelle technologie est à privilégier ? Filament Les imprimantes 3D FDM proposent une large gamme de matériaux différents et vous pourrez ainsi imprimer du PETG ou bien du PC ou PP tout en gardant des impressions transparentes. Cependant, les couches plus épaisses de cette technologie peuvent être un frein, ainsi que le post-traitement assez complexe de ces matériaux. Résine Les imprimantes 3D résines proposent des impressions avec un très forts niveau de détails. Souvent préférées dans la fabrication de pièces 3D avec des formes plus organiques. Elles permettent l’impression de couches très fines mais rendra certaines pièces mécaniques plus complexes à imprimer. Paramétrez vos pièces transparentes Ainsi, pour faciliter l’impression 3D de pièces transparentes avec un résultat le plus probant possible, nous vous conseillons de vous pencher sur ces premiers paramètres. Commencez par réduire au minimum l’épaisseur de couche afin de voir le moins possible les lignes et couches de l’impression. Ensuite, vous pouvez baisser le nombre et l’épaisseur des parois en FDM. En résine, comme vous utiliserez une résine transparente, vous n’aurez pas besoin de jouer sur les parois. De même pour le remplissage, avec votre filament transparent, il est recommandé d’utiliser un remplissage le plus faible possible. Choix du bon matériau Le choix du matériau est très important dans la réussite de l’impression d’une pièce transparente. Nous vous conseillons de partir vers des matériaux translucides. Ainsi, il existe, par exemple des filament comme le Polylite PETG transparent ou le Polylite PC transparent. En résine, vous retrouverez la résine Formlabs Clear, la résine Elegoo Standard Transparente ainsi que les résines BAST ST 45M par exemple. Post-traitement pour obtenir plus de transparences Le but de ces opérations de post-traitement et d’optimiser et d’améliorer l’effet de transparence des pièces imprimées en 3D. Nous allons voir 3 procédés qui permettent d’améliorer la translucidité des pièces et qui sont plus techniques. Ponçage et polissage Le ponçage d’une pièce permet de supprimer un maximum les lignes et couches restant visible à la surface de l’objet afin de le rendre le plus lisse possible. Le ponçage et le polissage de l’objet sont assez long à réaliser et peuvent être très compliqué suivant la forme et le type de matériaux. Vaporisation de vernis Vous pouvez vaporiser sur vos pièces un vernis uréthane acrylique par exemple qui permettent de lisser et d’apporter une forte protection aux UVs (très pratique avec la résine pour éviter qu’elle ne jaunisse). Cette méthode est à combiner avec un ponçage pour obtenir de meilleurs résultats et des pièces très transparentes. Dépôt de résine Enfin, avec des pièces disposant de surfaces planes ou presque, il sera possible de redéposer une très fine couche de résine sur la pièce afin de combler les pores et de lisser la pièce. Attention à ne pas polymériser votre pièce avant d’appliquer la nouvelle couche de résine. Conclusion La fabrication de pièces transparentes en impression 3D dépend surtout du modèle et de sa conception. La technologie choisie donnera plus ou moins d’avantages suivant les pièces que vous désirez obtenir. Nous sommes là pour vous conseiller et nous pouvons aussi réaliser pour vous des pièces tests afin que vous puissiez vous rendre compte du ou des résultats.
Dureté Shore des filaments et matériaux d’impression 3D

La Dureté Shore des filaments pour imprimante 3D est un terme technique qui définit la dureté du matériau. Comment bien le choisir ?
Comment améliorer son impression 3d ?

Guide : Comment améliorer le rendu de vos impressions 3D ? Introduction Améliorer impression 3d en vidéo L’imprimante (réglage et entretien) L’orientation des modèles 3D L’épaisseur des couches Les jointures ou cicatrices La ventilation Cas particuliers Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Améliorer impression 3d : Les imprimantes 3D FDM et l’impression 3D de manière plus générale a de nombreux avantages mais cette technologie de fabrication 3D connaît aussi certaines limites. La fabrication couche par couche, le fait de travailler un plastique fondu engendre des limites techniques qui créent des aspérités visuelles. L’impression 3D (tout comme l’injection) laisse un certain nombre de traces visible sur vos objets. Dans cet article, nous allons tenter de bien cerner ces limites afin de maximiser et améliorer les résultats et la qualité de vos impressions 3d. Améliorer vos supports d’impression 3D sur Cura Si vos impressions 3D PLA nécessitent du supports, le guide, tutoriel dédié a ce sujet devrait vous interesser. Vidéo de notre expert à l’appui. Lire le guide maintenant En travaillant certains paramètres et en valorisant certains positionnements, il est possible de modifier sans effort la qualité de vos résultats. Nous allons donc voir comment améliorer vos impressions 3D pour offrir le meilleur rendu visuel. En utilisant des paramètres ou logiques simples, bénéficiez d’améliorations importantes sur vos impressions 3d PLA mais pas uniquement. Les informations transmises sont valables pour la majorité des filaments d’impression 3D. Les tests ont été réalisés en impression 3D PLA, les bobines de PLA utilisées sont des filaments PLA Forshape (Noir et Gris clair). FILAMENT FORSHAPE Filament PLA Gris clair Forshape – 1.75mm – 750 g € Avis de notre expert 5/5 Le filament PLA Gris clair Forshape de fabrication européenne est un PLA Premium à un prix abordable. Forshape PLA Gris clair – 1.75mm – 750 g Forshape PLA Noir – 2.85mm – 750 g Nos astuces en vidéo pour améliorer ses impressions 3d L’entretien / les réglages de votre imprimante 3D pour améliorer impressions 3d Les premiers aspects à prendre en compte lorsque l’on cherche à rendre meilleur ses résultats d’impression 3d sont liés à l’entretien de l’imprimante. 1- L’état de la buse Son bon ou mauvais état va conditionner fortement les résultats de vos impressions 3D. Utiliser une buse propre est le premier facteur sur lequel il faut être attentif. Une buse encrassée ou obstruée va à elle seule, dégrader fortement vos résultats d’impression. En créant plus ou moins de sous-extrusion ou des dépôts de plastique carbonisés, l’utilisation d’une buse sale va déjà rendre complexe la fabrication d’un modèle 3D de la meilleure qualité. Une buse usagée, élargie par l’usure va également générer une sorte de sous extrusion. Du fait de l’incohérence entre le flux de filament et la largeur de sortie réelle. Buse obstruée = sous extrusion Buse sale = dépot de particules carbonisées 2- L’extrudeur (extruder – alimentation – feeder) Avoir un extrudeur propre et bien réglé est également un facteur clé pour maximiser et améliorer vos impressions 3D. Un extrudeur encrassé va avoir tendance à être moins efficace sur les mouvements de filaments. Il pourra créer des défauts irréguliers et augmente fortement le risque de grinding. De la même manière, un extrudeur mal « calibré » peut aussi causer certaines problématiques d’entraînement du filament. Un filament trop écrasé ou au contraire, pas suffisamment entraîné va accentuer les risques de défaut d’impression. Un extrudeur qui écrase trop le filament va généralement faire « claquer », débrayer votre moteur d’extrusion. Un filament trop peu entraîné aura tendance à patiner pendant les mouvements d’extrudeur d’aller et retour, particulièrement les plus rapide. Rapidement cela entraînera une interruption de l’extrusion et pourra poser des difficultés tels que le blocage de filament dans le système. Il est important d’être vigilant sur la tension apportée sur le filament 3d. Dans le cas de l’utilisation d’un filament flexible, il peut être intéressant d’accentuer cette pression pour tenir compte de la faible dureté du filament. La gestion de la pression est généralement modulable via la compression d’un ressort et d’une vis. 3- Les tensions courroies et les axes. Afin d’améliorer toujours plus la qualité de vos impressions 3d, il est important d’avoir une imprimante qui soit bien entretenue. Vérifier la bonne tension de ses courroies ainsi que le bon fonctionnement des systèmes mobiles est crucial pour fiabiliser et augmenter la qualité et la précision de vos résultats d’impressions. Améliorer vos impressions 3D: L’orientation des modèles 3D Le second point qui va fortement impacter l’aspect et le résultat visuel de vos impressions 3D est l’orientation de vos modèles 3D. L’impression 3D FDM fabrique vos objets en utilisant le principe du couche à couche. Selon l’orientation choisie, vos lignes de constructions seront donc différentes. Ce sens d’orientation va bien sûr avoir un impact sur la résistance de votre impression mais également sur son aspect et sur les zones ayant besoin de support. Réfléchir à la meilleure orientation pour son impression 3D est important. Celle-ci va considérablement impacter l’aspect final de votre modèle 3D. Utilisons ici le cas de ces 3 violons disposés différemment lors de l’impression. Impression à plat Impression à la verticale Impression oblique On constate assez facilement l’impact de cette orientation différente sur l’aspect de l’impression 3D. Non seulement les lignes ne sont pas positionnées de manière identique et cela produit une différence importante sur la gestion des courbes. (Effet de marche). Le besoin de support et les traces laissés par ce dernier vont également modifier le résultat visuel et le besoin de post-traitement. La logique étant de positionner l’objet selon les zones à privilégier / valoriser. C’est pourquoi utiliser l’impression 3D pour imprimer de manière désassemblée l’objet est parfois la meilleure option pour avoir un résultat meilleur globalement. Ici le manche a un aspect meilleur sur la version imprimée à 45°. Les 2 autres orientations génèrent un effet de marche sur la face frontale ou latérale de celui-ci. L’épaisseur des couches : Des impressions 3d plus lisse De manière assez
PLA vs PLA+ : comparatif de ces deux filaments PLA

PLA vs PLA+ : comparatif et différences de ces deux filaments PLA Introduction Pourquoi des appellations différentes ? Propriétés des matériaux Applications et usages Conseils d’impression du PLA Tough Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Si vous possédez une imprimante 3D, vous avez forcément déjà imprimé avec du filament PLA. C’est même dans 90% des cas, le matériau utilisé lors des premières impressions d’une machine. Vous connaissez sûrement d’autres matériaux et vous les avez peut-être déjà testés. Comme l’ABS ou le PETG. Cependant, pour pallier à des problèmes de résistances mécaniques du PLA, une variante est apparue et on la retrouve souvent sous le nom PLA+, PLA Tough ou PLA Ultra. Alors PLA vs PLA+ ? Nous allons découvrir les différences dans ce guide. PLA vs ABS : comparatif de ces deux matériaux 3D En comparaison de notre comparatif entre le PLA et le PLA+, nous avons fait le même exercice pour vous présenter les différences entre le PLA et l’ABS. Lire le guide maintenant PLA vs PLA+ : Pourquoi des appellations différentes ? C’est assez simple : le PLA Tough est composé en grande majorité de PLA et les fabricants (comme Forshape ou Polymaker) ajoutent des composants pour rendre leur PLA plus résistant. Il existe donc différents grades et qualité suivant les marques et les fabricants car cela dépendra de la formule utilisée pour composer le filament. Globalement, un filament PLA Tough sera toujours plus résistant qu’un filament PLA classique. De plus, on parle de PLA+ ou de PLA Plus, de PLA Tough et de PLA Ultra. Ces noms font référence au même produit sous des appellations différentes suivant les fabricants et leur provenance. PLA vs PLA+ : Propriétés des matériaux Le filament PLA est le filament le plus populaire en impression 3D. Il propose des caractéristiques tout à fait adaptées à des objets et des pièces visuels. Il se comportera mal avec les résistances mécaniques, chimiques ou thermiques. Le PLA Plus, Tough ou Ultra quant à lui, permettra de compenser ce manque de résistance et proposera une meilleure résistante mécanique. Polymaker avec son filament Polymax annonce des résistances jusqu’à 9 fois supérieures à celles du PLA standard et jusqu’à 20% de plus que l’ABS. Cependant, les PLA Tough ne disposent pas de meilleures résistances chimiques ou thermiques que le filament PLA classique. Il ne pourra donc pas dépasser des environnements avec des températures > à 40°C. ABS ou PLA Tough ? Le PLA Tough est une très bonne alternative au filament ABS si vous n’avez besoin que des propriétés et résistances mécaniques. Bien plus simple à imprimer que l’ABS, le PLA Tough s’imprime comme un PLA standard. PLA vs PLA+ : Applications et usages Le filament PLA est un matériau basique et très répandu. Qui sert principalement pour réaliser du prototypage rapide à des fins visuels ou dans l’architecture pour réaliser et présenter des maquettes par exemple. Son usage est essentiellement dédié à l’aspect visuel principalement. Le PLA est aussi très utilisé par les makers pour la conception de figurines ou dans le modélisme par exemple. Le PLA Tough, quant à lui, apporte un réel avantage et des propriétés mécaniques qui le rendent tout de suite très intéressant dans l’industrie pour la réalisation de pièces à usage mécanique ou bien de petites séries de production. On lui trouvera nombre de possibilités et d’applications mécaniques. PLA vs PLA+ : Quelques conseils d’impression du PLA Tough Bien que très similaire en termes de température et de réglages, le PLA+ (Tought ou Ultra) a besoin en général de ~15°C de plus que le PLA ordinaire. Nous vous recommandons aussi de diminuer, de façon générale, les vitesses de vos impressions 3D pour rendre vos pièces plus solide et faciliter ou optimiser du moins la liaison intercouches autour de 40mm/s par exemple. Cependant, comme le PLA Tough est composé de PLA et d’autres composants, il peut produire des particules fines pendant l’impression. Veillez à bien ventiler votre pièce ou utiliser un caisson pour imprimante 3D. FILAMENT FORSHAPE Filament PLA Noir Forshape – 1.75mm – 750 g € Avis de notre expert 5/5 Le filament PLA Noir Forshape 1.75mm de fabrication européenne est un PLA Premium à un prix abordable. Forshape PLA Noir – 1.75mm – 750 g Forshape PLA Noir – 2.85mm – 750 g FILAMENT POLYMAKER PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750g € € Avis de notre expert 5/5 Le PolyMax PLA Bleu est 9 fois plus résistant qu’un PLA standard et jusqu’à 20% plus robuste que l’ABS. PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750 g PolyMax PLA Bleu – 2.85mm – 750 g Conclusion Vous l’aurez compris le PLA Tough est une réelle alternative au PLA standard si vous désirez des propriétés mécaniques intéressantes sans pour autant vouloir imprimer de l’ABS. Le PLA Plus est toutefois un plus onéreux que le PLA classique et le choix de l’ABS peut se faire ressentir suivant votre budget. Dans tous les cas, votre besoin guidera votre choix et si jamais vous hésitez, nous sommes là pour vous aider. Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email
Warping impression 3D : Comment l’éviter ?

Warping impression 3D : Comment l’éviter ? Qu’est- ce que le warping? Nos recommandations en vidéo L’importance de la 1ère couche La température du plateau Les solutions adhésives Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Le warping en impression 3D est un phénomène bien connu qui est responsable de la majorité des défauts et échecs d’impression. Selon l’imprimante 3D et le type de filament 3D utilisé, ce phénomène sera plus ou moins présent. Nous allons dans cet article vous guider à travers les différentes méthodes permettant de maîtriser ce warping, ce décollement de vos objets du plateau. Plusieurs manipulations et ajustements vont agir sur ce phénomène. D’un point de vue machine déjà puis d’un point de vue logiciel. Le choix du type de filament influera également fortement sur ce comportement. Fiabiliser son adhérence plateau est nécessaire lors de l’utilisation de certains types de filaments comme l’ABS par exemple. Bien choisir son filament d’impression 3D Bien selectionner son filament d’impression 3D est très important. Découvrez les différents types de filament 3D ainsi que leur caractéristiques et spécificités. Lire le guide maintenant Qu’est-ce que le warping ? Le warping est un terme qui exprime un comportement propre à l’impression 3D FDM. Il est important de rappeler que le travail du thermoplastique génère souvent un phénomène de retrait. Bien connu en injection, ce retrait est pris en compte dans la fabrication des moules par exemple. Ce retrait correspond à une dilatation du plastique qui intervient pendant les phases de transformation. Lors d’un refroidissement, un thermoplastique va subir une contraction de son volume, de sa dimension ; le retrait. Sur une imprimante 3D et plus précisément sur un plateau d’impression 3D, ce phénomène de retrait va se traduire par une déformation inégale de votre objet. En effet, la zone en contact avec le plateau chauffant ne subira ce retrait qu’à la fin de l’impression, lorsque celui-ci refroidira. Le reste du modèle 3D va lui refroidir progressivement dans le sens ou il va plus rapidement descendre sous la température du plateau et ainsi subir cette déformation. Cette tension générée sur la partie « haute » plus froide de votre modèle 3D va alors produire une tension sur la zone en contact avec le plateau qui pourra alors relâcher son adhérence et créer ce warping, ce décollement de vos objets. Il est important de connaître les matériaux sensibles à cela et quelles sont les astuces et bonnes pratiques pour limiter au maximum ce phénomène inévitable avec certains types de filament 3D. Maîtriser son adhérence plateau : la vidéo anti warping Warping impression 3D : L’importance de la première couche Les difficultés d’adhérence sont parfois visibles dès la première couche, un manque de température ou de solution adhésive pourra perturber votre impression dès la première couche. Indépendamment de ces manques, c’est aussi pendant cette première couche que se vérifieront la calibration et la planéité de votre plateau d’impression. Si cette première couche montre une irrégularité du dépôt ou un décollement immédiat, rien ne sert d’aller plus loin. Il faut déjà veiller à avoir une bonne qualité de première couche. Pour réussir la fabrication de cette première couche, plusieurs éléments entrent dans l’équation. Une bonne première couche d’impression est la première étape pour limiter le risque de warping. La calibration du plateau de l’imprimante 3D La première cause des problèmes d’adhérence plateau est bien souvent liée à une mauvaise calibration de l’imprimante 3D. La calibration de votre plateau va avoir un rôle majeur sur la réussite de votre première couche. Ce que l’on entend pas calibration du plateau correspond en réalité à un couple de réglage. Le premier élément machine à régler est le Z-offset de votre imprimante 3D, cela correspond à l’écart entre la buse et le plateau en position de départ. La position d’origine de la buse d’impression doit être positionnée entre 0.1 et 0.2 mm du plateau. Ce Z-offset est généralement manuel et à régler directement sur l’imprimante 3D. Le but étant de choisir un point référence sur le plateau de l’imprimante afin de déterminer l’offset. La deuxième étape correspond à la planéité du plateau. Pour vérifier la bonne planéité du plateau, il suffit alors de déplacer la tête d’impression (et la buse) dans différentes zones du plateau de manière à répercuter mécaniquement l’écart initialement choisi dans tous les points. Ainsi, en validant un espace constant entre buse et plateau en différent point, cela confirme la bonne planéité du plateau d’impression 3D. Rappel important : Ces étapes de calibrations du plateau doivent être réalisées à chaud. La technique utilisant une feuille de papier pour apprécier l’écart entre buse et plateau est celle apportant les meilleurs résultats. Ressentir un léger frottement lorsque la feuille de papier glisse entre buse et plateau confirme un écart de 0.1 mm. La feuille pliée en 2 indiquera un écart de 0.2 mm. Les réglages logiciels de la couche initiale Afin de maximiser l’efficacité et l’adhésion de votre première couche d’impression et ainsi fiabiliser vos impressions, certaines astuces logicielles vont aider. Dans le logiciel Cura, il existe certains paramètres dédiés à cette première couche. La possibilité de modifier l’épaisseur de la première couche, la vitesse ou la ventilation va aider à améliorer celle-ci. L’ajout d’une bordure ou d’un radeau va également pouvoir aider dans ce sens. La première couche a pour rôle d’assurer une liaison efficace avec le plateau de fabrication. Ainsi, un dépôt lent et suffisamment épais est important. Il est recommandé d’utiliser les paramètres suivants : – Épaisseur de couche initiale minimum : 0.2 mm – Vitesse maximum de la couche initiale : 20 mm/s – Flux : 110 – 120 % – Ventilation des premières couches : 0% Les autres possibilités logicielles vont permettre l’ajout d’un artefact autour (la bordure au centre) ou sous (le radeau à droite) le modèle 3D. L’ajout d’une bordure (aussi appelé brim) va aider à la stabilité et à l’adhérence de
Optimiser vos supports sur Cura

Tuto Cura SUPPORTS : Optimisez vos supports d’impression3D Nos explications en vidéo La structure de support Profils par défaut Optimisation du temps Optimisation de la qualité Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Cura support : Ce tutoriel sera réalisé sur le logiciel Cura mais les connaissances et astuces seront également valables pour d’autres logiciels comme ideaMaker ou Simplify3D. Les supports d’impression 3D sont souvent nécessaires pour réussir la fabrication de vos objets imprimés en 3D. Ces structures de supports sont importantes et vont rendre possible l’impression de pièces aux géométries « moins adaptées » à ces technologies d’imprimantes 3D FDM. La génération de support se fait depuis le logiciel de programmation de votre modèle 3D, votre slicer. C’est ce logiciel (Cura) qui va analyser la position et la forme de votre modèle 3D afin de déterminer selon son orientation les zones nécessitant un soutien pour leur construction. Guide de l’impression 3D Découvrez et comparez les différentes technologies d’impression 3D dans notre guide de découverte de l’impression 3D. A savoir que selon la technologie utilisée, les besoins de supports sont différents. Lire le guide maintenant Notre expert vous explique tout en vidéo Cura Support – La structure en détail Dans le but de vous donner toutes les clés pour gérer efficacement la fabrication de vos supports, il semble important de rappeler les éléments qui constituent un support. Comment est structuré et généré votre support d’un point de vue logiciel ? Le remplissage du support Le remplissage du support est le corps de votre structure de support. C’est l’échafaudage qui va grandir en même temps votre modèle 3D de manière à être présent au moment où il devra servir de soutien à la zone imprimée. La distance en Z La distance en Z (ou l’espace) correspond sur Cura à l’espace de vide laissé entre le haut des supports et le modèle. Cet espace a pour but de permettre le décrochage post impression. Sans cet espace, les couches fusionnent et ne seront pas retirables. L’interface de support L’interface de support est optionnelle mais très pratique. Cette interface fait le lien entre le remplissage du support et la distance en Z. Cette interface à pour but de modifier la densité et le motif de votre structure de supports quelques couches avant le dépôt des couches du modèle 3D. Cura : Les supports par défaut La première chose que nous allons vérifier est le comportement par défaut du logiciel Cura selon le profil d’imprimante et de filament utilisé. Il est important de comprendre comment le logiciel Cura va créer les supports lorsqu’on utilise les paramètres par défaut des profils d’impression. Nous allons évoquer ici le comportement par défaut des profils poru filament PLA des fabricants Creality et Ultimaker, de manière à avoir une vision plus complète des automatismes des profils. Cura Support : Profil Creality Ender 3 – PLA Générique – Profil 0.16 On constate plusieurs informations : 51° d’angle max sans support Structure en motif Zigzag avec des lignes à 90°C Densité de 20 % Interface 33% en grille 1 paroi autour du support Distance Z = 0.16 mm Cura Support : Profil Ultimaker S5 – PLA Ultimaker – Profil 0.15 On constate plusieurs informations : 60° d’angle max sans support Structure en motif Zigzag avec des lignes à 90°C Densité de 15% Pas d’interface 0 paroi autour du support Distance Z = 0.3 mm Avec le même logiciel Cura et l’utilisation des profils génériques des fabricants, on note de nettes différences dans la gestion par défaut des supports. Étonnamment, la version proposée par défaut par Creality est plus performante que celle d’Utimaker. L’ajout de l’interface et une distance Z plus adaptée vont donner l’avantage au profil du filament PLA générique des profils Creality. Rappel important : Pour Ultimaker les profils supports seront mieux développés pour la gestion double extrusion de ses imprimantes. Cura support : Optimisation des temps d’impression (et quantité) L’optimisation de son impression passe aussi par l’amélioration de ses supports d’impression. Pour commencer, nous allons travailler sur la réduction des temps d’impression (et en même temps la réduction de la consommation de matériau). La valeur d’angle Cette valeur d’angle de porte-à-faux de support est la donnée qui va dicter le besoin ou non de support et ainsi sa génération automatique. Cette inclinaison va permettre de positionner des supports à partir du moment où le porte-à-faux est trop important pour être maintenue sans. Une valeur faible va déclencher davantage de supports alors qu’une version à 89° ne déclenchera du support que pour les zones horizontales. Par défaut, une valeur de 50-55 °C fonctionne bien pour la majorité des imprimantes, des profils et des matériaux. 40° 60° 89° Nombre de lignes de paroi de support Sur Cura, la paroi de support est une coque qui vient encercler la structure de remplissage du support. Cette paroi a pour but de renforcer et fiabiliser vos supports. Dans le cas de support qui monte peu en hauteur ou qui sont assez massifs, cette coque supplémentaire va ajouter inutilement du temps d’impression. Elle va aussi rendre plus complexe le décrochage du support. Rotation vs interface La zone de contact avec les modèles 3D est cruciale. En utilisant une interface, on permet d’utiliser les dernières couches de support pour la création d’une structure à densité et motif différents. Cette action peut parfois être remplacée par une simple rotation de l’objet qui verre ainsi naturellement ses lignes de support s’imprimer en diagonale par rapport à son objet. L’interface va homogénéiser la surface en utilisant une structure en grille à densité 33%. Mais dans certains cas, le fait de générer un support en ligne à 20-25%, bien orienté sera tout aussi efficace et moins chronophage. Cura Support conique L’activation des supports coniques (onglet expérimental de Cura) est simple, rapide et efficace. Voire même, très efficace sur les modèles nécessitant beaucoup de supports. Comme son nom l’indique, les supports prennent une forme conique en limitant la consommation
Comment réussir le post traitement de vos impressions 3D ?

Comment réussir le post traitement de vos impressions 3D FDM ? À quoi sert le post-traitement ? Ponçage Apprêts PolySmooth : un filament auto lissant Astuce avec de l’ABS Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Si vous avez pour habitude d’imprimer sur des imprimantes 3D FDM, vous savez qu’il est parfois compliqué de se séparer des « lignes » qui apparaissent sur vos impressions et qui sont en fait simplement les couches imprimées par votre imprimante qui restent visibles. Que vous possédiez une Creality Ender 3 V2 ou une Raise3D Pro2 par exemple, cela ne changera que peu de choses. Ce besoin en post traitement de vos impressions 3D vient essentiellement de la technologie FDM. Guide de l’impression 3D Découvrez et comparez les différentes technologies d’impression 3D dans notre guide de découverte de l’impression 3D Lire le guide maintenant À quoi sert le post traitement de vos impressions 3D ? Le post-traitement est l’opération que vous pouvez effectuer après l’impression de votre pièce 3D. Il a pour but de lisser ou d’atténuer l’effet des couches visibles de votre pièce. Cette étape est purement esthétique et pourrait même nuire au respect dimensionnel de votre pièce. Il existe plusieurs techniques et nous allons voir et découvrir les différences entre ces dernières dans cet article. Quelques recommandations avant de post traiter vos pièces Avant toute chose et surtout avant de commencer à post traiter vos pièces fraîchement imprimées. Posez-vous la question suivante : Auriez-vous pu vous enlever du travail de post-traitement en changeant vos paramètres d’impression ? C’est fort possible que oui, n’oubliez pas que ce qui rend le post traitement de vos impressions 3D nécessaire est la couche qui va rester visible après l’impression. Pensez donc tout de suite à imprimer avec une petite buse et avec la plus faible hauteur de couche possible. De même, si votre impression 3D nécessite d’être imprimé avec des supports, prenez du temps pour les retirer correctement. Plus vous prendrez de temps à bien retirer vos supports et moins vos impressions vous demanderont de post traitement. De même, pensez à optimiser l’utilisation des supports avant d’imprimer. Attention sécurité Nous vous recommandons de toujours porter un masque et des lunettes de protection pendant les différentes étapes ou techniques de post-traitement et de bien ventiler vos pièces. Il est très facile d’avoir des particules volatiles dans l’air, alors protégez-vous. Post-traiter une pièce avec le ponçage Cela peut sembler simple à première vue, mais cette technique bien que très efficace prend énormément de temps pour arriver à un résultat parfait. En effet, pour bien utiliser cette technique, et comme dans toute opération de ponçage, nous vous recommandons de partir d’un grain fort ou moyen (120/150) et d’aller vers des grains de plus en plus fins (600, 800, 2000, etc.) suivant la finition que vous désirez pour obtenir une impression 3D la plus lisse possible. Cette technique est difficile sur les pièces comprenant de petits recoins car ces zones deviennent vite très difficiles d’accès. Poser un apprêt sur vos pièces 3D Nous vous conseillons d’effectuer cette technique après un minimum de ponçage. Cela dit, suivant l’état de surface finale de votre pièce à la fin de l’impression, vous pourriez simplement passer à la pose de l’apprêt. La pose d’un apprêt remplisseur ou garnissant permettra de boucher les interlignes entre les couches de votre impression et ou les défauts de votre pièce. Une fois cette étape réaliser, nous vous conseillons de poncer à nouveau votre pièce pour avoir un résultat le plus précis et lisse possible. Cette étape est clairement décisive sur votre rendu final. Il est fortement conseillé de bien nettoyer et dégraisser votre print une fois cette étape terminée avant de passer à la peinture par exemple. Le Polysmooth : Un filament miracle ? Le Polysmooth de chez Polymaker est un filament qui permet d’être lissé très facilement et rapidement dans une unité de lissage Polysher du même fabriquent. Ce matériau est donc obligatoirement utilisable avec le Polysher. Ce produit vous évitera de longues heures de ponçage et d’enduit ou d’apprêt. Vous resterez concentrer sur vos impressions et laisserez le post-traitement à la machine. Vous n’avez qu’à déposer votre pièce en Polysmooth directement dans le Polysher, régler le temps de lissage et lancer la machine. Votre pièce va naturellement se lisser et vous apportez un rendu lisse et soyeux. FILAMENT LISSE PolySmooth Gris – 2.85mm – 750 g € Avis de notre expert 5/5 Le PolySmooth Gris de Polymaker est un filament 3D permettant d’obtenir des pièces lisses une fois le post-traitement effectué dans Polysher de Polymaker. Achat PolySmooth Gris – 2.85mm – 750 g SOLUTION POST-TRAITEMENT Polysher Polymaker – Solution de lissage/polissage € Avis de notre expert 5/5 Le Polysher de Polymaker est un outil de lissage / polissage simple d’utilisation pour des modèles imprimés en 3D. Achat Polysher Polymaker Astuce avec de l’ABS Pour l’ABS il existe une méthode de lissage spécifique. Nous l’avons vu dans notre article sur le jus d’ABS mais l’acétone permet de faire fondre l’ABS. En utilisant ce procéder et en exposant vos impressions à des vapeurs d’acétone vous pourrez lisser efficacement vos impressions 3D en ABS. Cette méthode reste tout de même relativement exotique et présente pas mal de danger pour la santé. L’acétone étant un produit peut recommandable. Faites donc bien attention si vous choisissez d’essayer cette technique. Réussir une impression 3D en ABS Toutes les trucs et astuces pour réussir à imprimer à coup sûr de l’ABS sur votre imprimante 3D Lire le guide maintenant Conclusion Il existe bien des techniques différentes pour réaliser le post traitement de vos impressions 3D. Ces techniques évoluent avec le temps et les nouvelles technologies d’impression. Si vous utilisez d’autres techniques pour le lissage et le post traitement de vos pièces 3D n’hésitez pas à les partager avec notre communauté dans les commentaires. Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email
Impression 3D grand format : Un récif corallien plus grand que nature

Impression 3D grand format : Un récif corallien plus grand que nature Le projet Apprendre de ses erreurs Améliorer le rendu et l’aspect Raise3D Pro2 Plus Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on email Email Imprimer des coraux disparus à 80 000% de leur taille d’origine. Un défi et un projet réalisé avec des imprimantes 3D Raise3D et bénéficiant de leur grand format d’impression 3D. Un professeur agrégé d’art à l’université d’Hawaï, a eu l’occasion de collaborer avec une équipe marine afin de modéliser des coraux d’une manière compréhensible pour tous. L’objectif était de stimuler les débats sur l’impact du corail dans les océans. Et de mettre en avant les différents types de coraux et leurs différentes tailles. Avant la disparition des derniers spécimens de ces coraux très particuliers de l’île d’Hawaï, ce projet a permis de préserver ces derniers dans un format où tout le monde peut les voir, que ce soit en réalité virtuelle ou en utilisant une visionneuse 3D et en les faisant pivoter pour voir à quoi ressemblait le corail à cet endroit. Le projet d’impression 3D grand format S’inspirant de ce projet initial, Jon Goebel a lancé un nouveau projet d’impression 3D du corail à une échelle plus grande que nature, en l’imprimant à 80 000 % de sa taille originale. Son objectif est d’imprimer en 3D un grand modèle de corail que les gens pourront traverser et avec lequel ils pourront interagir. Il souhaite que son corail imprimé en 3D, plus grand que nature, change le point de vue des gens sur le corail en général, en suscitant la curiosité et la discussion sur le rôle qu’il joue dans l’écosystème marin. Utilisant ce modèle spécifique comme prototype pour une version beaucoup plus grande à l’avenir, il en est actuellement à 6 000 heures d’impression pour son projet. Il envisage de mettre un jour ce projet en œuvre à plus grande échelle, notamment en installant un dispositif permanent dans un lieu public, ce qui permettrait aux enfants de grimper dessus et d’interagir avec lui. J’ai 75 pièces derrière moi et je pense qu’il en reste encore 150 à 200 à assembler. Jon Goebel – University of Hawai’I”at Hilo Impression 3D grand format : Pas si facile ? Apprendre de ses erreurs Au départ, M. Goebel a découpé le modèle et l’a passé dans l’imprimante 3D. Cependant, il s’est rendu compte que lorsque le modèle est agrandi à 80 000% avec ce procédé, le résultat final imprimé en 3D montre toutes les faces des polygones, ce qui n’est pas beau à voir et rend la pièce finale pratiquement inutilisable. Améliorer le rendu et l’aspect des pièces imprimées en grand format Désireux d’améliorer le résultat de son impression 3D, Goebel a décidé de modifier la taille des pièces qu’il imprimait. Il a repris le modèle et l’a coupé en quatre. Il a ensuite augmenté la taille de chaque quartier de 80 000%. M. Goebel a découpé chaque quart agrandi en 100 à 200 pièces, puis a remodelé la surface. Il a effectué un processus de lissage, de remaillage et de lissage à nouveau. Goebel a effectué environ 10 itérations de ce processus. Ce qui a permis d’obtenir un modèle lisse et agréable. Il a ensuite pris le modèle lisse et l’a rassemblé pour créer le modèle complet. Impression grand format : avec quel matériau ? L’une des principales raisons pour lesquelles Goebel a choisi le PLA est qu’il s’agit d’un bioplastique, ce qui en fait une ressource durable. Comme son projet visait à modifier la perception qu’ont les gens de l’écologie des coraux et de la vie marine, il était important de disposer d’un matériau d’impression 3D respectueux de l’environnement. Le filament PLA est également un matériau d’impression 3D couramment utilisé, facile à imprimer et abordable. Cela a donné à Goebel la possibilité d’affiner sa conception structurelle de manière rentable au cours de son impression initiale. De plus, des bobines de filament pour imprimantes 3D comme le Polylite PLA blanc 3Kg permettent d’imprimer de grandes pièces sans pour autant devoir changer de bobine aussi régulièrement qu’avec des bobines standards de 750g ou 1Kg. Impression 3D grand format avec la Raise3D Pro2 Plus Goebel a utilisé l’imprimante 3D grand format Raise3D Pro2 Plus. Tout le processus du projet de Goebel consistait à imprimer du corail qui, comme nous l’avons dit, était plus grand que nature. Les pièces de corail qu’il a imprimées en 3D sont plus grandes que lui. Il lui fallait donc une imprimante 3D capable de produire efficacement des pièces de la taille dont il avait besoin. La Pro2 Plus est une imprimante grand format capable de produire de manière fiable des impressions de haute qualité aux dimensions dont Goebel avait besoin. Cela a fait de cette imprimante la meilleure imprimante 3D grand format dans la gamme de prix de Goebel. Télécharger le cas client complet Découvrez les tenants et les aboutissants de l’mpression 3D grand format avec les imprimantes Raise3D. FILAMENT GRAND FORMAT PolyLite PLA Noir – 1.75mm – 3 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PLA Noir de Polymaker est un PLA offrant une qualité exceptionnelle et haute fiabilité d’impression 3D à un prix attractif. PolyLite PLA Noir – 3 kg – 1.75mm PolyLite PLA Noir – 3 kg – 2.85mm imprimante 3D professionnelle Imprimante 3D Raise3D Pro 2 Plus € € € Avis de notre expert 5/5 L’imprimante 3D Raise3D Pro 2 Plus est reconnue pour son efficacité et sa polyvalence sur ce grand format d’impression. Équipée d’un système de double extrusion mobile, puissant et performant, elle répond aux demandes les plus exigeantes. Grand format d’impression Polyvalence et précisions Double extrusion Temps d’impression parfois élevée Précision variable selon matériau Acheter Raise3D Pro2 Plus
Comment réduire sa consommation de filament 3D ?

Consommer moins de filaments 3D c’est possible ! Comment réduire sa consommation ? L’objet Les supports Le remplissage Une pièce à la fois Le conditionnement Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Vous possédez ou vous venez d’acheter une imprimante 3D et vos bobines de filaments défilent à une vitesse folle. Vous êtes-vous demandé s’il était possible de limiter ou de réduire votre consommation de filament 3D sans pour autant imprimer moins ? Il existe quelques astuces et nous allons les découvrir dans cet article : Comment réduire sa consommation de filament 3D ? Pourquoi réduire sa consommation ? Pour faire simple et contrairement aux méthodes traditionnelles (soustractives), l’impression 3D permet d’ajouter la matière juste là où elle est nécessaire. Cela est déjà un réel intérêt en termes de perte et de gaspillage par rapport à l’usinage par exemple lorsque l’on créer du déchet pour fabriquer une pièce. Et tout simplement, car si vous réduisez votre consommation, vous allez réduire vos coûts financiers mais aussi et très certainement le temps de vos impressions. Attention cependant à ne pas prendre en compte toutes les recommandations de cet article au pied de la lettre. Prenez en compte vos besoins en termes de résistances ou techniques de vos impressions et de leurs utilisations. La réduction du nombre de coques va rendre votre pièce plus fragile, cela sera très bien pour une pièce décorative mais pas du tout approprié à un usage mécanique. Ces méthodes sont valables avec du filament PLA mais elles le sont aussi avec la majorité des filaments disponibles. Tuto Cura : Réduire son temps d’impression Le temps d’impression est souvent lié à la quantité de matière à imprimer. Découvrez dans cet article comment faire des économies de temps et de filament. Lire le guide maintenant Réduire sa consommation de filaments 3D : Optimisation sur l’objet Vous pouvez réduire votre consommation de filament simplement en réfléchissant à votre pièce à imprimer et en vous posant quelques questions : Est-elle dans le bon sens ? Dois-je la remplir ou peut-elle être vide ? Comment l’orienter pour limiter les supports ? Puis-je supprimer les supports en l’imprimant en deux fois ? Ai-je besoin de beaucoup de résistances ? Et pour répondre à ces questions, votre slicer devient vite votre meilleur ami. N’hésitez pas à déplacer votre pièce et à la tourner dans tous les sens pour trouver la meilleure orientation. Vous pourrez alors remarquer deux points importants : les supports et le remplissage de l’objet. Nous allons voir ces deux points juste après mais il y a d’autres optimisations possibles. Pouvez-vous couper votre pièce en deux ou plus par exemple pour limiter l’utilisation des supports ou de remplissage ? En imprimant une pièce en plusieurs morceaux il est souvent très facile de ne plus avoir de support. Cela limite grandement l’utilisation et la consommation de filament. Vous pouvez aussi réduire le nombre de coques de votre pièce. En imprimant moins de coques vous allez réduire significativement la consommation de filament cependant vous obtiendrez une pièce plus fragile. Une autre possibilité, pour les pièces « pleines » est de les évider avant leur utilisation ce qui limitera dans certains cas le remplissage. Réduire sa consommation de filament 3D : Les supports Les supports sont essentiels pour réussir vos impressions et peuvent souvent être optimisés pour réduire la consommation de filament mais aussi et surtout le temps de l’impression. Ne mettez des supports que lorsqu’ils sont nécessaires : ceci est le plus important. Il existe aussi les supports arborescents ou les supports coniques qui permettent de faire de grandes économies lors de l’impression. Ces méthodes permettent de grandement limiter l’utilisation en utilisant du support de façon dynamique et en répartissant mieux leur positionnement par rapport à votre pièce. Nous vous recommandons l’utilisation de ces nouvelles méthodes qui vous permettront de gagner du temps aussi lors de vos impressions 3D. Réduire sa consommation de filaments 3D : Le remplissage La gestion du remplissage peut aussi vous faire gagner beaucoup de temps et donc diminuer votre consommation de filament. Commencez par vous demander si vous avez vraiment besoin de remplir votre pièce pour l’imprimer. Une pièce comme une pyramide permettra d’être imprimé avec un infill de 0% car celle-ci pourra s’autoporter lors de l’impression. Dans tous les autres cas, pensez à baisser votre taux de remplissage si vous souhaitez réduire votre consommation. Cela réduira aussi considérablement le temps de vos impressions. Suivant le motif de remplissage que vous choisirez, vous pourrez aussi économiser du temps et du filament. Le remplissage en ligne permet par exemple de limiter la consommation comme ce remplissage s’imprime essentiellement une ligne sur deux. Réduire sa consommation de filaments 3D : Une pièce à la fois Cela n’est pas toujours évident ni même possible, mais l’impression de pièces une par une limite efficacement les pertes de votre matériau d’impression. La raison est simple : Si vous imprimez 2 ou 3 pièces en même temps et que l’impression rencontre un problème, vous perdrez autant de pièces d’un coup que vous étiez en train d’en imprimer. En limitant vos impressions à une pièce à chaque fois, vous limitez les risques de perte. FILAMENT FORSHAPE Filament PLA Blanc Forshape – 750 g € Avis de notre expert 5/5 De fabrication européenne et avec un enrouleur en carton, le Filament PLA Forshape Blanc 750g est compatible avec toutes les imprimantes 3D. Forshape PLA Blanc – 1.75mm Forshape PLA Blanc – 2.85mm Conclusion Pour conclure cet article, notons que l’utilisation de bobines grand format peut s’avérer économique et vous permettre de réaliser de belles économies en les combinant avec nos recommandations. Si vous connaissez d’autres méthodes qui permettent de réduire la consommation de filament lors de l’impression de pièces 3D, partagez-les en commentaire avec nous et les ajouteront à l’article. Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email
Lancer un dispositif médical de classe 1 en un temps record et étant composé de 50 pièces imprimées en 3D

Lancer un produit fini commercialisable composé de 50 pièces imprimées en 3D Présentation d’Accante L’OrthoBox Les défis à relever Les solutions LinkedIn Facebook Twitter Email Accante est une entreprise Française qui conçoit, fabrique et commercialise des produits finis en impression 3D. Un bureau d’étude innovant qui ne cesse de créer de nouveaux projets. Accante nous propose dans ce webinaire, une réflexion sur la question que toute entreprise se pose aujourd’hui : Faut-il lancer une production avec une méthode traditionnelle (comme l’injection plastique) ou est-il plus intéressant de fabriquer grâce à l’impression 3D ? Accante, avec l’OrthoBox a fait ce choix de la fabrication additive et nous explique pourquoi dans ce webinaire. La fabrication additive est une alternative à l’injection plastique pour les petites et moyennes productions, l’utilisation de matériaux comme la résine BASF la rend encore plus industrielle et professionnelle. Stéphane Wattré – Accante Un de leur projet, l’OrthoBox, est un produit fini et un dispositif médical pour les orthodontistes appelé OrthoBox (Medical Device Class 1). Pour faire court, ce produit permet de facilité la vie des orthodontistes en leur permettant de préparer en avance les brackets qu’ils poseront sur les dents de leur patient en gardant ces derniers pré-enduits à l’abri de la lumière. Les défis de la production de pièces finies Ce projet a nécessité pas moins de 40 phases de prototypage pour arriver à sa maturité de production. Les premières étapes ont été réalisées avec des imprimantes 3D FDM qui ont permis à Accante de réaliser et d’itérer très rapidement sur les premières phases du projet. Par la suite, le choix d’une imprimante résine s’est imposé pour la qualité des finitions et de l’état de surface. Il fallait alors choisir le matériau adapté et qui permettra d’obtenir les résultats attendus (résine Ultracur3D® ST 45B). Les phases de prototypage ainsi terminées, la production a ouvert de nouveaux enjeux et problématiques : « Faut-il lancer une production en injection plastique ?« Les solutions Faut-il opter pour la production en injection plastique ? Accante a discuté avec beaucoup d’industriels sur les tenants et les aboutissants d’une production externalisée. Découvrez dans notre webinaire , les coûts et les économies importantes que réalise aujourd’hui, Accante avec son OrthoBox, grâce à la fabrication additive. Ils sont aussi plus agiles et peuvent itérer ou garder une amélioration continue de leur produit. Avec notre programme d’accélération à la fabrication additive, Accante a pu tester plusieurs résines pour trouver celle qui convenait le mieux à leur projet. La résine BASF s’est avérée être le meilleur choix en termes de matériau. Premièrement, parce que cette résine Ultracur3D® ST 45B est de très bonne qualité et répond totalement aux attentes mécaniques et visuelles de l’OrthoBox, mais aussi parce qu’elle répond aux exigences de traçabilité et de coûts. De plus, s’appuyer sur un leader mondial de la chimie est toujours rassurant. Regarder le webinaire complet Découvrez pourquoi Accante a choisi la fabrication additive pour produre son produit fini. RÉSINE BASF Résine Ultracur3D® ST 45B BASF – 1000 ml € Avis de notre expert 5/5 L’Ultracur3D ST45B est une résine de très haute qualité répondant aux exigences des applications fonctionnelles en matière de haute précision, résistance mécanique et à l’impact. Ultracur3D® ST 45B BASF – 1000 ml
Rendre l’impression 3D vraiment solide

Rendre vos impressions 3D plus solide Introduction Le top 5 en vidéo #1Température d’extrusion #2 Epaisseur de couche #3 Durée de la couche #4 Température d’enceinte #5 Ventilation Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email L’impression3D FDM pour Fused Deposition Modeling ou FFF pour Fused Filament Fabrication fonctionne par fabrication de couches successives. En effet, le principe de cette technique d’impression est de créer un objet 3D en le fabricant couche après couche avec votre imprimante 3D. Les matériaux thermoplastiques utilisés pour cette fabrication sont fondus puis déposer finement couche après couche. Pour rendre vos impressions 3D vraiment solide il est important de bien comprendre ce principe de couche à couche et de filament fondu. Le constat d’un point de vue mécanique est relativement clair. La liaison intercouche de votre objet imprimé en 3D est le point faible de tout objet fabriqué de manière additive. Afin de rendre vos impressions 3D solide (vraiment solide), il faut travailler sur ce point critique. Car, selon le type de filament 3D utilisé, il est plus ou moins facile d’obtenir une bonne efficacité mécanique entre les couches successives. Le top 5 des astuces en vidéo Introduction : La recherche d’une meilleure résistance mécanique Le type de filament 3D utilisé et leur qualité vont bien sûr dicter la résistance générale de votre impression 3D mais celle-ci dépend aussi grandement de l’efficacité de cette liaison entre chaque couche de filament imprimé. L’orientation de votre modèle 3D va par conséquent être également un paramètre important à prendre en compte lorsque l’on cherche à maximiser la résistance de son impression 3D. Ensuite, et indépendamment des paramètres logiciels tels que l’épaisseur des coques et les densités et motifs de remplissage, qui vont eux aussi faire varier la résistance. Le but de cette étude va être de rechercher à améliorer la liaison entre les couches de matériaux afin de renforcer mécaniquement l’objet imprimé en 3D là ou se situe le point le plus faible de tout objet imprimé. Objectif : Améliorer la liaison inter-couche Avant de détailler les différents aspects à manipuler pour augmenter cette liaison, il faut préciser que certains types de filaments sont plus sensibles que d’autres pour ce qu’il en est de cette résistance intercouche. Les filaments type ABS ou PC par exemple, doivent au minimum respecter ces conditions afin de développer le minimum d’efficacité. Il n’est pas rare de constater des impressions en ABS très peu résistante, cassante et fragile à cause d’une mauvaise maîtrise de cette liaison. Pour rendre vos impressions 3D solide et avec un niveau de performance réellement digne du matériau sélectionné, il faut s’attarder sur l’efficacité réelle de votre impression. Cette adhérence et liaison mécanique entre les différentes couches sont la clé d’une impression solide et résistante de manière plus globale. Nous allons donc voir comment maximiser la solidité de votre impression 3D en améliorant la qualité de la liaison intercouche. FILAMENT POLYMAKER PolyLite ABS Rouge – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Impression simplifée Performance mécanique et thermique Warping limité PolyLite ABS Rouge – 1 kg – 1.75mm PolyLite ABS Rouge – 1 kg – 2.85mm 1- Augmenter la température d’extrusion Prenons l’exemple d’un filament PETG, ce filament s’extrude entre 230 et 250°C (voire plus selon les marques et types de PETG). Cette plage de température correspond à la plage de viscosité exploitable par votre filament. En sachant que, plus la température d’extrusion sera élevée, plus le matériau extrudé sera liquide. Il aura ainsi tendance à mieux se déposer et fusionner sur la couche précédente et ainsi maximiser cette liaison mécanique. Les effets millefeuille ou de délamination sont généralement causés par un manque de température d’extrusion. Il ne suffit pas de fondre le filament et de le déposer. Il faut également produire une fusion entre les couches afin que celles-ci soient bien cohérentes et adhérentes. En augmentant la température d’extrusion, le filament plus liquide et chaud épousera mieux et davantage la couche précédente. Renforçant ainsi la fusion et la solidité de vos impressions 3D. Cette manipulation va probablement dégrader légèrement les performances de bridging (pontage entre deux points sans support) et causer du stringing. Il faut idéalement trouver la bonne viscosité en adaptant sa température, ses vitesses et son épaisseur de couche. Tous ces paramètres vont en effet jouer sur la solidité réelle de votre impression 3D. 2- Réduire l’épaisseur de couche Dans le but de renforcer la solidité des couches d’impression 3D, il peut être utile voire nécessaire de réduire l’épaisseur, la hauteur de vos couches d’impression. Selon le filament utilisé et le type d’imprimante, il arrive que les températures d’extrusion ne puissent être augmentées. Si le filament devient trop liquide à haute température ou que la limite de température de l’imprimante 3D est atteinte, l’astuce peut alors être de réduire l’épaisseur des couches. Cette couche plus fine va rendre plus solide et efficace cette fusion. En diffusant davantage la chaleur vers la couche précédente, il sera plus facile d’obtenir une réelle fusion entre les strates. Couches de 0.25 mm Couches de 0.15 mm 3- Réduire le temps de couche De la même manière et selon votre configuration d’impression, le fait de réduire le temps de couche peut également renforcer la solidité de votre pièce imprimée en FDM. L’utilisation des modes de fabrication par « Ordre séquentiel » pour ideaMaker ou « Séquence d’impression » sur Cura vont permettre de travailler de manière plus efficace vos fabrications. Cette particularité est particulièrement vraie pour les matériaux refroidissant rapidement. Les filaments ABS ou Polycarbonate par exemple apprécient grandement de ne pas trop s’attarder sur le temps de fabrication de chaque couche. Plus la couche est longue en termes de durée de fabrication, plus la couche a le temps de refroidir. Il en sera donc plus complexe d’atteindre une bonne fusion des couches entre elles suite à ce séchage important du dépôt de couche précédent. 4- Utiliser un caisson pour imprimante 3D ou une imprimante fermée. L’utilisation
Comment préparer un jus d’ABS pour vos impressions 3D ?

Préparer du jus d’ABS et limiter les risques de décollement des pièces Éviter le warping Préparer du jus d’ABS La couleur du jus d’ABS Utiliser le jus d’ABS Nettoyage du jus d’ABS Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Le jus d’ABS est utilisé régulièrement pour limiter les décollements et simplifier l’impression des filaments ABS. En effet, lors de l’impression de l’ABS la pièce à tendance à « warper »(à se décoller ou à gauchir) du plateau de l’imprimante 3D ce qui provoque une déformation. Résultat : la pièce devient alors inutilisable. Comment se prémunir de warping facilement grâce au jus d’ABS ? Vous avez sûrement essayé d’autres méthodes comme l’utilisation de colle Magigoo Original, ou l’utilisation d’un caisson pour imprimante 3D. Bien que ces méthodes soient efficaces, dans certains cas et en particulier quand la pièce est grande, il est possible d’utiliser du jus d’ABS. Le jus d’ABS est un mélange d’ABS et d’acétone qui vient diluer la matière pour la rendre liquide. Ce jus à la consistance de lait sera alors déposé sur le plateau juste avant le début de l’impression et remplacera l’utilisation d’une colle ou d’une laque. Nous vous recommandons de ne pas utiliser d’autres solutions adhésives en même temps, cela n’apporterait rien de plus. Comment imprimer l’ABS ? L’impression de l’ABS est complexe et ne s’arrête pas simplement à l’utilisation d’un jus d’ABS. Découvrez toutes les bonnes pratiques dans notre guide. Lire le guide maintenant Préparation du jus d’ABS La préparation du jus d’ABS n’est pas compliquée mais reste relativement dangereuse en raison de la présence d’acétone. Vous pourrez trouver de l’acétone en grande surface ou dans les magasins de bricolage. Pour l’ABS, nous vous conseillons simplement d’utiliser les chutes de précédentes impressions (comme les Brims et Rafts ou les supports) ou simplement des morceaux de votre bobine. Point de vigilance : Nous vous recommandons très fortement l’utilisation de gants, d’un masque et de lunettes de protection lors de l’utilisation du jus d’ABS ou simplement de l’acétone. Ce produit étant dangereux veillez à toujours l’utiliser dans une pièce bien ventilée et en vous protégeant. Prévoyez un contenant en verre le plus étanche possible. Vous pouvez aussi reprendre une bouteille d’acétone vide. Comme l’acétone est très volatile, il va s’échapper très rapidement dans l’air, veillez à le garder le plus possible dans un environnement fermé et étanche. Ensuite, pour faire simple, le but est de couper vos chutes d’ABS en morceaux les plus petits possible. Plus les morceaux sont gros et plus la dissolution est longue (logique). Disposez alors dans votre contenant des morceaux d’ABS représentant environ 10 à 20% du volume d’acétone. La quantité et le temps de dissolution dépendront de la qualité de votre ABS. Ajouter de l’acétone dans un pot en verre étanche (~10cl) Ajouter 10 à 20g de petits morceaux d’ABS Mélanger bien le tout Laisser reposer quelques heures Utiliser quand la préparation à la consistance du « lait ». La couleur du jus d’ABS ? La couleur dépendra simplement de la couleur des morceaux d’ABS que vous aurez plongé dans l’acétone. La couleur peut avoir de l’importance si vous désirez garder la pièce une fois imprimée sans post-traitement (sans peinture ou autre). Nous vous conseillons de préparer un jus d’ABS avec le même ABS que vous utilisez pour l’impression. Utilisation du jus d’ABS Nous vous recommandons de déposer le jus d’ABS sur le plateau à l’aide d’un pinceau et juste avant le début de l’impression (quand le plateau chauffe, est chaud). La chaleur du plateau vous aidera à répartir le jus d’ABS sur la surface du plateau. Attention à garder au maximum une application régulière de votre jus d’ABS pour que celui-ci soit efficace. De la même façon, il est inutile d’en mettre une couche épaisse, vous devriez pouvoir voir votre plateau par transparence lorsque vous étalez votre jus d’ABS. Comment réussir sa première couche d’impression 3D ? En complément de l’utilisation du jus d’ABS il est toujours important de vérifier quelques conseils pour bien réussir sa première couche. Lire le guide maintenant Nettoyage du jus d’ABS et des outils Pour le pinceau, mettez-le à tremper dans un petit peu d’acétone, cela vous permettra de nettoyer votre pinceau et de vous en resservir. Pour le plateau, une fois l’impression terminée, nous vous recommandons de gratter simplement ce dernier à l’aide d’une spatule métallique. Pensez à bien nettoyer votre plateau à l’eau tiède pour enlever tout résidu. Conclusion Cette solution est pratique et facile et permet de simplifier l’accès et l’impression de l’ABS qui est bien plus compliqué que le filament PLA. Partagez dans les commentaires vos retours d’expérience quant à l’utilisation du jus d’ABS. Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email
Comment imprimer de l’ABS avec succès ?

Comment réussir à imprimer de l’ABS facilement avec succès Nos conseils en vidéo Les différents ABS Pourquoi utiliser l’ABS ? Comment paramétrer l’ABS ? Quelles difficultés d’impression ? Les solutions pour imprimer l’ABS Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Vous possédez ou vous venez d’acheter une imprimante 3D. Vous savez maintenant qu’elle vous permet l’utilisation de divers thermoplastiques. Parmi cette diversité de filaments 3D disponibles, le filament ABS est considéré comme standard mais il est en réalité plutôt technique. Aussi bien au niveau de ses performances mécaniques que pour son imprimabilité. Alors comment bien réussir son impression ABS ? Réussir à imprimer de l’ABS Guide des filaments 3D Si vous souhaitez en savoir sur les autres matériaux d’impression 3D disponibles. Consultez notre guide de choix des filaments pour imprimante 3D. Lire le guide maintenant Le thermoplastique ABS est un matériau particulièrement courant en usinage ou en injection. Il est donc logique de le voir aussi disponible en impression 3D FDM. Cependant la technique d’impression 3D d’un filament fondu puis d’une fabrication couche par couche crée certaines réactions qui peuvent être néfastes pour les fabrications. En effet, le retrait intrinsèque de l’ABS et le refroidissement successifs et inégaux des couches peuvent perturber les résultats de vos impressions. Il est donc primordial de bien connaître les spécificités de ce filament 3D pour savoir comment réussir ses impressions en ABS ? Tous nos conseils en vidéo pour réussir à imprimer en ABS Les grades de filaments d’impression ABS Il existe en impression 3D et dans l’univers des thermoplastiques de manière générale énormément de types de plastique différent. Au sein même d’une typologie de plastique comme l’ABS (Acrylonitryle Butadiène Styrène) il existe différent grade d’ABS et même certains alliages mêlant l’ABS à d’autres thermoplastiques. Par défaut, en injection thermoplastique, il est important d’avoir une viscosité assez élevée des plastiques afin de pouvoir réaliser des injections rapides et détaillées. En impression 3D c’est presque l’inverse, ou en tout cas, la viscosité de la matière ne doit pas être aussi importante. Même principe pour le refroidissement, rapide et homogène en injection, alors qu’il est variable et irrégulier en impression 3D. Les ABS qui sont apparus en impression 3D il y a quelques années étaient davantage des ABS de grade d’injection mis sous forme de filament. Cela provoquait des impressions complexes avec un fort taux de retrait et donc de warping. Désormais la majorité des filaments ABS disponibles en impression 3D sont bien mieux adaptés. Certains fabricants de filaments de haute qualité développent même des alliages ou des ABS modifiés afin de toujours mieux s’adapter à l’impression 3D et réduire sa toxicité. Le Polylite ABS de Polymaker est par exemple un filament proposant toutes les caractéristiques d’un ABS mais travaillé pour améliorer son comportement général et son imprimabilité. Ainsi, réduire l’effet de déformation produit lors du refroidissement tout en réduisant fortement les émanations de COV toxique naturellement présente dans l’ABS est l’atout de ce filament Polymaker de type ABS. Pourquoi utiliser l’ABS en impression 3D ? L’ABS est un matériau performant et très abordable. En impression 3D, l’ABS est l’un des matériaux les plus polyvalents et durables. Il est connu pour sa rigidité et sa bonne résistance aux chocs mais aussi pour sa tenue en température. Il conviendra particulièrement pour des applications techniques, fonctionnelles et pratiques. On retrouvera ainsi couramment des prototypes mais aussi des outils, gabarits ou pièces d’usure réalisées en impression ABS. Les impressions ABS offrent également un bel aspect mat qui laisse peu visible les couches, un aspect souvent préféré au côté brillant des filaments PLA ou des filaments PETG. L’une des facettes propres à l’ABS et particulièrement intéressante pour ce qu’il en est de l’aspect de celui-ci est sa capacité de lissage chimique. En effet, les filaments ABS réagissent assez fortement à la vapeur d’acétone. Cette réaction lorsqu’elle est contrôlée permet un lissage assez bluffant des pièces imprimées. Comment paramétrer son impression en ABS Comme pour les autres filaments standards, l’impression de l’ABS est par défaut déjà configurée dans les logiciels d’impression. Les profils génériques dédiés contiennent généralement les paramètres adaptés à la majorité des filaments ABS. Des températures d’extrusion et plateau plus élevées que pour les autres filaments standards ainsi qu’une très faible ventilation sont nécessaires pour l’impression d’ABS. Selon le type et la marque de votre bobine, il est possible que les recommandations diffèrent légèrement. Veillez à bien respecter les plages de températures du fabricant. Comme mentionné précédemment et malgré le respect des consignes d’impression ci-dessous, il est possible que vos impressions en ABS posent des difficultés. Quelles sont les difficultés de l’impression de l’ABS ? Utiliser une imprimante 3D plutôt qu’une autre va véritablement faire la différence sur ce matériau. En effet, la principale problématique qui réside dans l’impression du matériau ABS est la température de la zone de fabrication. Ici on ne parle pas du plateau uniquement mais bien de l’environnement d’impression. Les phénomènes de warping et de délamination sont fréquents lorsqu’on utilise une imprimante ouverte ou moins chaude. Warping Délamination Le véritable ABS standard a besoin d’une température d’enceinte proche des 80°C pour ne pas souffrir de déformation ou de décollement. Cette température de fabrication permet également de maximiser la liaison des couches et ainsi de renforcer et fiabiliser les pièces imprimées. Imprimantes 3D ouvertes Creality CR10 S Pro V2 Dans le cas d’impression ABS sur imprimantes personnelles type Creality, il est important de remarquer que malgré le fait que les imprimantes 3D Creality soient capables d’atteindre les températures demandées. Par conséquent, elles ne sont pas pour autant en mesure de travailler efficacement le matériau ABS standard dans leur configuration de base. Leur côté complètement ouvert et leur puissance de chauffe plateau souvent à peine assez puissante font qu’il est peu intéressant d’essayer l’impression d’ABS dans ces conditions. Imprimantes 3D fermées Raise3D Pro2 Lorsque l’on imprime l’ABS sur une imprimante fermée, carterisée, comme les imprimantes Raise3D Pro2 par exemple, il est déjà beaucoup
Trouver la bonne température pour votre impression 3D

Quelle est la meilleure température pour vos impressions 3D ? Les bases Les règles Température d’extrusion Température plateau Tours de température Facteur externe Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email La température d’extrusion ou du plateau de vos impressions 3D est plus qu’essentiel pour avoir une pièce de qualité à la fin de l’impression. Tous les matériaux ne réagissent pas de la même manière, un filament PLA ne se comportera pas comme un filament ABS lors de l’impression. En plus cela dépend aussi de votre imprimante 3D : si elle est ouverte comme une Creality Ender 3 ou fermée comme la Raise3D Pro2 ou Raise3D E2. La température de l’impression a donc un rôle clé pour donner un bel aspect à vos pièces mais aussi de la résistance. Température impression 3D : Les bases Commençons donc par les bases et plus particulièrement par un concept très simple mais qui résume parfaitement l’entièreté du problème : La température dépend de votre imprimante 3D, de son environnement et de votre filament. Nous savons que le filament PLA ne s’imprime pas comme l’ABS et le PETG, mais tous les PLA ne s’impriment pas avec les mêmes réglages. Cela peut dépendre de la marque, de la composition et même de la couleur dans certains cas. Nous allons voir dans cet article comment trouver la meilleure température pour vos impressions 3D. Cela vous permettra un réglage plus fin de la température d’impression de votre plateau et de votre buse pour avoir de meilleurs résultats. FILAMENT POLYMAKER PolyLite PLA Blanc – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PLA Blanc de Polymaker est un PLA offrant une qualité exceptionnelle et haute fiabilité d’impression 3D à un prix attractif. Polylite PLA Blanc 1.75mm Polylite PLA Blanc 2.85mm FILAMENT POLYMAKER PolyLite PETG Bleu – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PETG Bleu de Polymaker est un matériau translucide offrant un ratio facilité d’impression et propriétés mécaniques entre un PLA et un ABS. PolyLite PETG Bleu – 1 kg – 1.75mm PolyLite PETG Bleu – 1 kg – 2.85mm Température impression 3D : les règles La température est variable suivant les matériaux et leur marque comme nous l’avons vu plus haut et sur ce point, chaque fabricant indiquera une plage des températures idéales. Cette plage sert à définir la température minimum et maximum pour l’extrusion de ce filament. Pour le filament PLA par exemple, on retrouve souvent une température entre 180 et 220°C. Cette plage a pour but d’adapter la viscosité au débit requis. Vitesse d’impression, épaisseur de couches et diamètre de buse, modifie le besoin en température de votre extrusion. Plus le dépôt de matière est important ou rapide, plus il faudra augmenter la vitesse de fonte de votre filament. Ce propos est illustré dans l’image ci-dessous. Température impression 3D : L’extrusion Nous venons déjà de voir une partie de ce propos dans le paragraphe précédent. Il est donc important de se rappeler que : Si vous augmentez la taille de la buse : il faut augmenter la température d’extrusion de l’impression. Si vous augmentez la vitesse : il faut aussi augmenter la température d’impression. Attention tout de même à la première couche. D’habitude, si elle ne colle pas ou mal au plateau, on a tendance à augmenter légèrement la température pour que celle-ci adhère mieux. Mais ceci au risque d’avoir une impression de moins bonne qualité ou le filament aura été chauffé trop fort. Comment réussir sa première couche ? Tous nos conseils pour apprendre à régler correctement votre plateau et utiliser les bons produits pour l’adhésion de vos pièces. Lire le guide maintenant Température impression 3D : Le plateau La grande majorité des imprimantes 3D à dépôt de filament est aujourd’hui équipée de plateau chauffant. La température du plateau permet de gagner en adhérence lors de l’impression. De la même façon qu’il est recommandé de suivre la plage de température de votre matériau pour la température d’impression de votre hotend, nous vous conseillons de suivre la plage indiquée par le fabricant. La raison est assez simple, pour le filament PLA par exemple, dès que le plateau descendra sous les 20 ou 25°C, la pièce aura tendance à se décoller facilement. Même s’il est possible d’imprimer du PLA sur un plateau froid, ce ne sera pas sans utiliser de la colle ou du scotch pour garder l’adhérence. De même un PLA Tough comme le PolyMax PLA Bleu devra avoir une température supérieure à un PLA ordinaire. FILAMENT POLYMAKER PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750g € Avis de notre expert 5/5 Le PolyMax PLA Bleu est 9 fois plus résistant qu’un PLA standard et jusqu’à 20% plus robuste que l’ABS. PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750 g PolyMax PLA Bleu – 2.85mm – 750 g Température impression 3D : Les tours de température Pour faciliter la recherche de la température idéale, les tours de température ont été inventés. Ces tours sont très simples et permettent de trouver la température idéale à l’œil. Le système est d’imprimer un objet et augmentant la température progressivement. Une fois l’impression terminée, en examinant les différentes couches et strates de l’impression, il deviendra facile de voir à quelle hauteur et donc à quelle température vous obtenez le meilleur résultat. En téléchargeant un modèle 3D existant Il en existe des dizaine sur internet et sur les plateformes de téléchargement de modèles 3D. Télécharger un modèle En utilisant un générateur de gcode Sinon, il existe de nombreux générateurs de gcode personnalisable sur internet qui vous évite d’avoir à réaliser de nombreux changements dans les modèles pour les adapter à votre besoin et votre machine. Comme le site de Teaching Tech 3D qui vous permet via un formulaire de générer le gcode que vous pourrez ensuite imprimer avec votre imprimante 3D. Aller au générateur Température impression 3D : Les facteurs externes Les factures externes sont relativement multiples. Notons que la taille et le modèle de l’imprimante peuvent faire varier considérablement les
Sous extrusion : Comment régler ce problème en impression 3D ?

Sous extrusion : Comment régler ce problème en impression 3D ? Qu’est-ce que c’est ? L’humidité Buse bouchée Température Vitesse et Flow Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Si vous possédez une imprimante 3D ou si vous avez acheté une imprimante 3D récemment vous avez peut-être été confronté à ce problème qu’est la sous extrusion. Cela peut arriver avec n’importe quel type de matériaux que ce soit du filament PLA ou du filament Nylon en passant par les filaments ABS, PETG ou tout autre matériau ou filaments 3D. Sous extrusion : Qu’est-ce que c’est ? Tout d’abord, la sous extrusion est un phénomène qui se produit lors de l’impression. Si vous remarquez que les couches ne sont pas totalement pleines ou si elles vous paraissent trop fines. Qu’elles comportent des trous ou des bulles lorsque le filament est extrudé comme sur la photo ci-dessous alors vous avez un cas de sous extrusion. Nous allons voir dans cet article plusieurs solutions pour régler votre problème de sous extrusion avec votre imprimante 3D. FILAMENT POLYMAKER PolyLite PLA Blanc – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PLA Blanc de Polymaker est un PLA offrant une qualité exceptionnelle et haute fiabilité d’impression 3D à un prix attractif. Polylite PLA Blanc 1.75mm Polylite PLA Blanc 2.85mm FILAMENT POLYMAKER PolyLite PETG Bleu – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PETG Bleu de Polymaker est un matériau translucide offrant un ratio facilité d’impression et propriétés mécaniques entre un PLA et un ABS. PolyLite PETG Bleu – 1 kg – 1.75mm PolyLite PETG Bleu – 1 kg – 2.85mm Sous extrusion : un problème d’humidité ? Bien que cela ne soit pas une certitude, si vous remarquez des bulles dans vos couches lors de l’impression cela pourrait être dû à un filament humide. En effet, l’humidité chargée dans votre filament est évaporée au moment du passage dans la buse. Suivant le taux d’humidité de votre filament, l’évaporation apportera des bulles plus ou moins importantes dans vos couches. Filament humide : Comment faire ? Apprenez à maîtriser vos filaments humides et à les rendre à nouveau utilisables en les séchant. Lire le guide maintenant Sous extrusion : Buse bouchée ? Un deuxième facteur qui pourrait apporter de la sous extrusion à votre impression 3D pourrait venir d’une buse bouchée. En effet, de la même manière qu’avec l’humidité, une buse bouchée pourrait créer des trous ou des bulles dans vos couches car votre filament pourrait avoir du mal à totalement s’extruder pendant l’impression. Une buse bouchée arrive rarement avec du filament PLA mais si vous utilisez des filaments plus techniques n’hésitez pas à nettoyer régulièrement votre buse pour vous assurer des impressions 3D de qualité. Nettoyer la buse Apprenez à nettoyer et à déboucher la buse de votre imprimante pour limiter les effets de sous extrusion ou les problèmes lors de changement de matériaux. Lire le guide maintenant Sous extrusion : Température La température d’extrusion de votre filament peut aussi être un facteur de sous extrusion. Tous les filaments ont une plage avec la température d’impression. Pour le filament PLA par exemple, on le trouve souvent entre 180 et 220°C. Si vous imprimez à 180°C et avez de la sous extrusion, essayez d’augmenter la température. Vous n’êtes pas obligé d’aller jusqu’à 220°C tout de suite, mais augmenter de 5 à 10°C par essai pour voir si cela règle le problème. Le filament pourrait être pas assez chaud dans votre buse lors de son extrusion et ne pas être extrudé totalement ce qui provoquerait les manques sur votre impression 3D. Sous extrusion : Vitesse et Flow Enfin, la vitesse et le flow sont deux paramètres qui pourraient rentrer en compte et corriger vos problèmes de sous extrusion. Pour la vitesse, cela viendrait d’une impression trop rapide de votre filament. Si la vitesse d’extrusion est supérieure à ce que peut supporter votre imprimante 3D alors vous auriez un problème de sous extrusion. Comme le filament ne serait pas poussé assez fort vers la buse, il sortirait moins de matière que prévu (d’où le manque lors de l’impression de la couche). Pour le flow, celui-ci gère le « débit » de matière que vous éjectez avec votre imprimante 3D. Nous mettons cette méthode en dernière car bien qu’efficace elle cache souvent le vrai problème. Augmenter un peu votre Flow ou Débit permettra d’envoyer plus de matière dans la buse et donc de compenser simplement le manque de matière de la sous extrusion. FILAMENT POLYMAKER PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750g € Avis de notre expert 5/5 Le PolyMax PLA Bleu est 9 fois plus résistant qu’un PLA standard et jusqu’à 20% plus robuste que l’ABS. PolyMax PLA Bleu – 1.75mm – 750 g PolyMax PLA Bleu – 2.85mm – 750 g Conclusion La sous extrusion est un problème complexe qui peut dépendre de plusieurs paramètres voir même de problème lié à votre matériel. Nous n’en avons pas parlé dans l’article mais n’hésitez pas à vérifier l’état de votre tube bowden ou l’état de votre extrudeuse et de sa roue crantée. Des dégradations physiques sur la machine pourraient aussi entraîner de la sous extrusion. Avancer en testant plusieurs solutions et vous découvrirez rapidement les vraies raisons de votre problème de sous extrusion. Dites-nous en commentaire si vous avez rencontré ce problème et comment vous le régler ! Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email
PLA vs PETG : quelles différences entre ces thermoplastiques ?

PLA vs ABS : comparatif de ces deux matériaux 3D Propriétés des matériaux Usages et applications Conseils d’impressions Budget Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Le PLA et l’ABS sont historiquement les deux matériaux les plus utilisés dans l’impression 3D. Ces filaments 3D bien que très connus présentent tous deux des avantages et des inconvénients. Nous allons vous les présenter dans ce comparatif : PLA vs ABS. Tout d’abord, ces deux matériaux sont utilisables dans l’impression 3D dite FDM (dépôt de filament). Il existe de nombreux matériaux disponibles pour l’impression 3D FDM et nous vous les présentons tous dans notre guide d’achat sur les filaments 3D. Nous allons aborder des sujets comme la composition et les propriétés de chaque matériau. Leurs usages et les domaines d’applications dans lequel vous pourrez les retrouver ainsi que les paramètres d’impression et le budget lié à au PLA et à l’ABS. FILAMENT POLYMAKER PolyLite PLA Blanc – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PLA Blanc de Polymaker est un PLA offrant une qualité exceptionnelle et haute fiabilité d’impression 3D à un prix attractif. Polylite PLA Blanc 1.75mm Polylite PLA Blanc 2.85mm FILAMENT POLYMAKER PolyLite ABS Noir – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Cet ABS Noir est idéal pour la production de pièces nécessitant une bonne résistance mécanique et pour du prototype fonctionnel. Polylite ABS Noir 1.75mm Polylite ABS Noir 2.85mm PLA vs ABS : propriétés des matériaux Il est important de comprendre de quoi ces matériaux sont composés et leurs propriétés respectives pour ensuite pouvoir comprendre à quoi ils servent et comprendre les différences finalement entre le PLA et l’ABS. Le PLA et l’ABS sont des matériaux qui n’ont rien en commun quand on les compare sur le plan de la rigidité, de la flexibilité et de résistances. Résistances En terme de résistances, le PLA est beaucoup moins résistant que l’ABS. Vous trouverez sur internet de nombreux tests ou les chercheurs tirent, étendent et déforment les deux matériaux pour en comparer les propriétés mécaniques et l’ABS l’emporte à chaque fois haut la main. Le PLA vs l’ABS récupère des points quand on veut l’exposer a des températures basses. Là où l’ABS va rompre sous l’effet du froid, le PLA ne sera pas affecté. Mais par contre, l’ABS pourra supporter des températures supérieures à celle du PLA. De la même manière, le PLA et l’ABS sont tous deux soumis à une faible résistance à l’humidité, ils ne sont donc pas faits pour un usage extérieur. Flexibilité Tous les matériaux sont flexibles, le PLA et l’ABS ne sont pas moins soumis à cette règle que le TPU par exemple. L’ABS a une meilleure résistance théorique que le PLA dans ses déformations lors d’allongement ou de flexion des pièces imprimées. Comparativement l’ABS vs PLA : l’ABS est moins fragile que le PLA. Guide des filaments 3D Si vous souhaitez en savoir sur les matériaux et leur sensibilité à l’humidité. Consultez notre guide de choix des filaments d’impression 3D. Lire le guide maintenant PLA vs ABS: Usages et applications Il n’est pas difficile de comprendre les différents usages et applications une fois que nous avons vu les propriétés du PLA et de l’ABS. En effet, là où le PLA est un matériau basique et facile à imprimer, l’ABS quant à lui est un matériau plus technique et plus industriel. Le PLA est souvent utilisé dans la première approche à l’impression 3D. Comme il est très simple à imprimer et bon marché aussi, on le retrouve dans pratiquement tous les usages. Souvent utilisé dans des domaines ou applications où il ne devrait pas l’être car ses propriétés sont trop faibles pour répondre aux contraintes. L’ABS est plus utilisé dans le milieu industriel où il sert à réaliser des prototypes techniques et mécaniques de pièces. Ce matériau est fait pour ce type d’utilisation et répond aux exigences des professionnels. L’ABS est d’ailleurs utilisé depuis longtemps dans la conception de produits finis et commercialisables. Écologie et toxicité Une des grandes différences entre ces deux matériaux est leur composition. Le PLA est un bioplastique composé d’amidons de maïs alors que l’ABS est un thermoplastique. Si vous êtes intéressé par un PLA écoresponsable, nous vous conseillons notre étude sur le Polyterra. Alors que l’ABS dégage des COVs et une odeur très forte pendant l’impression. PLA vs ABS : Conseils d’impression En termes de température d’impression, l’ABS nécessite une température de buse et de plateau plus élevé. L’ABS aura tendance à « warpper » ou à gauchir, ce phénomène est dû à plusieurs facteurs et nous verrons cela dans un autre article. Cependant, pour limiter ses risques le plateau doit chauffer entre 80 et 110°C et disposer d’une enceinte fermée ou d’un caisson pour imprimante 3D. Ces derniers aident à réguler la température lors de l’impression. Les vitesses d’impressions des deux matériaux sont quant à elles relativement similaires. Le mieux est de les adapter à la pièce que vous imprimez en gardant en tête que plus la vitesse est lente et meilleur sera le résultat. Pour le reste, nous vous conseillons de bien ventiler la pièce lors de l’impression de l’ABS pour éviter les particules toxiques le plus possible et nous vous recommandons une imprimante avec une enceinte fermée et filtrante comme les imprimantes 3D Raise3D. Ou alors d’utiliser un caisson pour imprimante 3D pour limiter les risques si votre imprimante n’en possède pas. PLA vs ABS : Budget Dernier point de comparaison entre le PLA et l’ABS : le coût. Une bobine de filament PLA de 1Kg coûte en moyenne autour de 25 à 30€, en filament ABS le coût sera relativement similaire. Bien sûr, cela dépend de chaque marque et de la qualité des filaments mais dans la globalité le prix d’un kilo de PLA ou d’ABS sera similaire. Un bon compromis aussi, est le PolyMax par exemple, un PLA renforcé qui prend des avantages des deux : PLA et ABS. Et supprime
Impression PETG : Comment la réussir ?

Impression PETG : Comment la réussir ? Sommaire Comment paramétrer le PETG ? Explications en vidéo Quelles difficultés pour imprimer du PETG ? Quelques conseils et recommandations Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email En impression 3D, ce filament est un excellent compromis entre performance et facilité d’impression. Il est plus robuste que le PLA et reste aussi accessible que ce dernier. Imprimer le filament PETG est simple mais maîtriser aux mieux les aspects visuels et techniques de ce filament est important afin de bénéficier de ces caractéristiques. Ce guide va donc répondre aux différentes interrogations suivantes. Comment imprimer de manière optimale ce filament PETG ? Quels sont les conseils et recommandations à respecter pour réussir son impression PETG ? Guide des filaments 3D Si vous souhaitez en savoir sur les autres matériaux d’impression 3D disponibles. Consultez notre guide de choix des filaments pour imprimante 3D. Lire le guide maintenant Le PET ou PET-G est un matériau très répandu et connu pour son utilisation industrielle courante. C’est un matériau que l’on trouve fréquemment sous forme de bouteille, conteneur, blister… Il est traditionnellement translucide et compatible avec le contact alimentaire. Réussir son impression en PETG L’impression du filament PETG est relativement simple et accessible à tous. Ce matériau technique doté de propriétés mécanique, chimique et thermique supérieur au PLA ne nécessite pas d’imprimante 3D plus performante ou puissante. L’utilisation d’imprimante personnelle ou professionnelle sera parfaitement adaptée à l’impression de ce filament PETG. Quelques conseils pour réussir son impression en PETG Comment bien paramétrer son filament PETG pour l’impression ? Imprimer le PETG est accessible à toutes les imprimantes 3D FDM doté d’un plateau chauffant. Il existe généralement un profil PETG qui est proposé par défaut dans le logiciel de découpe (slicer). Ces paramètres sont assez variables selon le type de filament PETG utilisé. En effet, il existe différents types de PETG qui nécessitent un ajustement des températures d’impression. Les véritables PET (sans le G) exigent une température d’impression précise et avec peu de marge en termes de viscosité. La déclinaison la plus courante, le PET-G (G pour Glycol) permet d’imprimer à des températures plus faibles et d’améliorer la viscosité. Ce filament 3D s’imprime généralement entre 230 et 240 °C pour des vitesses allant de 40 à 50 mm/s. En ce qui concerne la température de chauffe du plateau, il faudra utiliser une température proche de la température de transition vitreuse (Tg) du matériau soit environ 70-75°C. Ce filament PETG n’est pas particulièrement sensible au warping et ne souffre pas de retrait. Malgré tout, il sera nécessaire d’utiliser une solution d’adhérence sur les plateaux en verre. D’autres paramètres comme la rétraction et le coasting (roue libre) vont être utiles pour réduire les petits fils et coulures (stringing et oozing) que peut générer ce type de filament quand on l’imprime. L’impression du PETG, quelles difficultés ? L’utilisation du filament PETG en impression 3D a l’avantage de ne pas poser de difficultés. Il n’est pas particulièrement sensible à l’humidité, aux variations de températures ou au courant d’air. Il a simplement deux comportements à connaître qui lui sont assez spécifiques : Stringing / Oozing Ce fil PETG va avoir assez facilement en cas de surchauffe (même très légère) une tendance à laisser couler du filament pendant ces déplacements. En réduisant sa température et en utilisant les paramètres de rétraction, d’évitement, ou de roue libre, vous serez en mesure de contrôler cela. Même en utilisant une buse de grand diamètre ou une vitesse d’impression plus élevée, il ne faut pas trop augmenter les températures sous peine de déclencher un stringing important. Buse obstruée Ce matériau va plus facilement encrasser la buse de votre imprimante 3D. Il sera important de réaliser des purges et/ou nettoyage après utilisation afin de réduire ce risque. Ce risque d’obstruction peut créer une sous extrusion et ainsi rendre plus fragile vos objets. Cette buse encrassée va également accentuer le phénomène de oozing. Imprimer le PETG est possible sous différents formats de buse mais les plus petites seront à éviter pour les impressions de longues durées ou des fabrications en double extrusion. La tendance aux légers encrassements du PETG ne convient pas toujours aux buses de petit format. Aucun accessoire complémentaire n’est vraiment indispensable pour imprimer du PETG, une solution d’adhérence et un bon paramétrage suffiront. L’utilisation d’un caisson est toujours recommandée lorsque l’on utilise son imprimante 3D FDM. La toxicité et l’odeur du PETG sont minimes mais par souci de précaution et de confort (bruit), l’utilisation d’un caisson par exemple la version pour Creality Ender 3 est recommandée. La déclinaison PETG Carbone contient des fibres abrasives, il est alors recommandé l’utilisation d’une buse renforcée pour prévenir d’une usure trop rapide de votre buse laiton d’origine. Conseils pour savoir comment imprimer le PETG ? L’utilisation du PETG requiert comme pour tous les filaments 3D un paramétrage spécifique des températures, vitesses, ventilations et parfois même d’autres paramètres moins courant. Pour commencer, il faut suivre les recommandations du fabricant de votre bobine de filament PETG. Les plages de températures d’extrusion indiquent la plage de température exploitable. La température plateau oscille entre 70 et 80°C et l’adhérence ne pose pas vraiment de problèmes sur ce matériau. Une solution type Magigoo Original fonctionnera parfaitement. Du côté logiciel, il faut donc savoir comment gérer l’impression du PETG, ici nous prendrons l’exemple du logiciel ideaMaker de Raise3D. Définir la bonne température de votre bobine de PETG : Si votre bobine de PETG indique 230 – 240 °C (comme les bobines de PETG Transparent Polymaker), il est recommandé de rester dans cette plage. En imprimant avec des couches fines, une petite buse ou à faible vitesse, la partie basse de la plage de température est recommandée. Pour une extrusion plus rapide ou plus importante, il faudra alors utiliser la plage haute. Par défaut, pour débuter, utilisez la médiane de la plage qui conviendra généralement à un besoin standard. Imprimer le PETG : les vitesses adaptée Les
Problème impression 3d première couche : Comment la réussir ?

Problème impression 3d première couche : Comment la réussir ? Le problème Réglages plateau Propreté du plateau Paramétrages du slicer Conseils matériaux Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email La première couche est la plus importante de votre impression 3D. Tous les problèmes liés à votre première couche causent et créent des complications pour toute la suite de votre impression 3D. Si vous avez déjà acheté une imprimante 3D vous savez à quel point cette première couche peut affecter vos impressions 3D et si ce n’est pas le cas ou si vous venez juste de le faire, nous allons voir comment éviter les problèmes d’impression de votre première couche. Une sous-adhésion de votre première couche peut causer des problèmes de décollement de la pièce au cours de l’impression. Une sur adhésion peut sembler moins problématique, mais cela peut amener à casser la pièce quand on souhaite l’enlever du plateau à la fin de l’impression. Vérifier que votre première couche est bonne Vous devez avoir suffisamment de matière déposée sur le plateau lors de votre première couche et cela doit être homogène sur toute la surface de la pièce. Une fois l’impression terminée, la pièce devrait se décoller simplement en exerçant une petite pression de la main dessus. Problème première couche : #1 Règlages plateau Vous vous en doutez, mais quand on parle de première couche, la première chose à régler et vérifier est bel et bien le plateau de votre imprimante 3D. Le plateau peut se régler de plusieurs façons suivant la marque et les différents modèles. Creality propose un système de « roues » pour le réglage et le nivellement du plateau. C’est une opération manuelle que vous pouvez effectuer sur toute la gamme, des Creality Ender 3 V2 au Creality CR-10 V3 en passant par la Creality CR6-SE et autres. Pour d’autres marques, comme Raise3D le réglage est différent car ces imprimantes proposent un nivellement semi-automatique. Cette étape est primordiale et devrait solutionner les 3/4 des problèmes liés à la première couche d’impression 3D. Si cela n’était pas le cas, nous vous donnons quelques astuces à la suite de ce guide. PLA qui ne colle pas au plateau ? Les solutions ? Sur le même sujet : Vous ne savez pas pourquoi vos impression 3D en PLA ne colle pas bien au plateau lorsque vous imprimez. Nos astuces spécifiques en plus dans ce guide dédié. Lire le guide maintenant Problème première couche : #2 Imprimante toujours propre Cela peut paraître simple mais si la surface de votre plateau est sale ou grasse l’adhésion de votre première couche peut échouer. Un bon réglage plateau est bien entendu la clé mais un bon nettoyage ne fera pas de mal. Veillez à garder votre plateau propre et le nettoyant entre chaque impression ou dès que vous commencez à y voir des traces. Problème première couche #3 Paramétrage de votre Slicer La plupart des slicers proposent de définir des paramètres différents pour la première couche d’impression. Ces paramètres vont vous permettre de finement calibrer l’adhésion de votre première couche. Température d’impression initiale : C’est la température de la buse lors de la première couche. Vous pouvez augmenter cette valeur de 5 à 10°C. Cela permettra une meilleure accroche de la première couche à votre plateau. Vous pouvez faire de même pour la valeur de « Température du plateau couche initiale« . Hauteur de la couche initiale : C’est la hauteur de la première couche, nous vous conseillons de monter autour de 0.3mm (avec buse de 0.4) pour compenser d’éventuelles erreurs de réglage plateau. Vitesse de la couche initiale : En réduisant la vitesse d’impression de la première couche, vous augmentez l’adhérence du filament sur le plateau. Cette méthode agit relativement en couple avec la température d’impression initiale. Ajouter un radeau ou une bordure pour augmenter la surface de la pièce en contact avec le plateau. Vous l’aurez compris ces quelques paramètres permettent de jouer sur les températures et les vitesses de votre première couche d’impression et de solutionner nombres de problèmes d’impression de première couche. Problème première couche : #4 Conseils matériaux Tout d’abord, pensez aux recommandations de chaque matériau. Le filament PLA ne s’imprime pas comme du filament ABS ou du filament PETG. Dans certains cas, pensez à la matière de la surface de votre plateau, il existe des plateaux en verre, Buildtak ou bien en PEI. Ils ne réagissent pas de la même façon, donc penser à adapter votre solution d’adhésion à votre plateau. Penser à choisir une solution d’adhésion supplémentaire pour votre plateau, comme de la colle Magigoo Original ou de la laque. Cela aidera votre pièce à coller au plateau plus fortement sous l’effet de la colle et cela améliorera encore une fois les résultats. Prenez garde cependant avec certains matériaux comme le PETG qui ont tendance à fortement coller au plateau. À l’inverse, des produits comme le Ziflex peuvent vous aider à simplifier le décollement des pièces du plateau. Ce dernier possède un plateau souple permettant de décoller la pièce simplement en pliant ce dernier sur lui-même. Adhérence plateau Ziflex – Plateau flexible – Creality Ender 3 € Avis de notre expert 5/5 Le ziflex est une surface d’adhésion flexible qui vous permettra de décoller vos pièces de manière très rapide et efficace. Acheter un Ziflex pour Creality Ender 3 ADHÉRENCE PLATEAU Colle Magigoo Original – 50 ml € Avis de notre expert 5/5 Magigoo assure une forte adhérence lors de l’impression. Et un décollement le plus simple du monde quand le plateau a refroidi. Acheter Magigoo Original Conclusion Vous voilà fin prêt à réaliser des impressions 3D dignes de ce nom, sans erreurs ni échecs. Rien de pire que d’attendre plusieurs heures et de voir l’impression échouée à la fin car la pièce s’est décollée du plateau. Cela est arrivé à tout le monde et fait partie de l’apprentissage, nous espérons qu’avec ces quelques astuces vous serez moins confronté à ces problèmes d’adhésion
PLA vs ABS : Comparatif de ces deux matériaux 3D

PLA vs ABS : comparatif de ces deux matériaux 3D Propriétés des matériaux Usages et applications Conseils d’impressions Budget Conclusion Share on linkedin LinkedIn Share on facebook Facebook Share on twitter Twitter Share on whatsapp WhatsApp Share on email Email Le PLA et l’ABS sont historiquement les deux matériaux les plus utilisés dans l’impression 3D. Ces filaments 3D bien que très connus présentent tous deux des avantages et des inconvénients. Nous allons vous les présenter dans ce comparatif : PLA vs ABS. Tout d’abord, ces deux matériaux sont utilisables dans l’impression 3D dite FDM (dépôt de filament). Il existe de nombreux matériaux disponibles pour l’impression 3D FDM et nous vous les présentons tous dans notre guide d’achat sur les filaments 3D. Nous allons aborder des sujets comme la composition et les propriétés de chaque matériau. Leurs usages et les domaines d’applications dans lequel vous pourrez les retrouver ainsi que les paramètres d’impression et le budget lié à au PLA et à l’ABS. FILAMENT POLYMAKER PolyLite PLA Blanc – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Le PolyLite PLA Blanc de Polymaker est un PLA offrant une qualité exceptionnelle et haute fiabilité d’impression 3D à un prix attractif. Polylite PLA Blanc 1.75mm Polylite PLA Blanc 2.85mm FILAMENT POLYMAKER PolyLite ABS Noir – 1.75mm – 1 kg € Avis de notre expert 5/5 Cet ABS Noir est idéal pour la production de pièces nécessitant une bonne résistance mécanique et pour du prototype fonctionnel. Polylite ABS Noir 1.75mm Polylite ABS Noir 2.85mm PLA vs ABS : propriétés des matériaux Il est important de comprendre de quoi ces matériaux sont composés et leurs propriétés respectives pour ensuite pouvoir comprendre à quoi ils servent et comprendre les différences finalement entre le PLA et l’ABS. Le PLA et l’ABS sont des matériaux qui n’ont rien en commun quand on les compare sur le plan de la rigidité, de la flexibilité et de résistances. Résistances En terme de résistances, le PLA est beaucoup moins résistant que l’ABS. Vous trouverez sur internet de nombreux tests ou les chercheurs tirent, étendent et déforment les deux matériaux pour en comparer les propriétés mécaniques et l’ABS l’emporte à chaque fois haut la main. Le PLA vs l’ABS récupère des points quand on veut l’exposer a des températures basses. Là où l’ABS va rompre sous l’effet du froid, le PLA ne sera pas affecté. Mais par contre, l’ABS pourra supporter des températures supérieures à celle du PLA. De la même manière, le PLA et l’ABS sont tous deux soumis à une faible résistance à l’humidité, ils ne sont donc pas faits pour un usage extérieur. Flexibilité Tous les matériaux sont flexibles, le PLA et l’ABS ne sont pas moins soumis à cette règle que le TPU par exemple. L’ABS a une meilleure résistance théorique que le PLA dans ses déformations lors d’allongement ou de flexion des pièces imprimées. Comparativement l’ABS vs PLA : l’ABS est moins fragile que le PLA. Guide des filaments 3D Si vous souhaitez en savoir sur les matériaux et leur sensibilité à l’humidité. Consultez notre guide de choix des filaments d’impression 3D. Lire le guide maintenant PLA vs ABS: Usages et applications Il n’est pas difficile de comprendre les différents usages et applications une fois que nous avons vu les propriétés du PLA et de l’ABS. En effet, là où le PLA est un matériau basique et facile à imprimer, l’ABS quant à lui est un matériau plus technique et plus industriel. Le PLA est souvent utilisé dans la première approche à l’impression 3D. Comme il est très simple à imprimer et bon marché aussi, on le retrouve dans pratiquement tous les usages. Souvent utilisé dans des domaines ou applications où il ne devrait pas l’être car ses propriétés sont trop faibles pour répondre aux contraintes. L’ABS est plus utilisé dans le milieu industriel où il sert à réaliser des prototypes techniques et mécaniques de pièces. Ce matériau est fait pour ce type d’utilisation et répond aux exigences des professionnels. L’ABS est d’ailleurs utilisé depuis longtemps dans la conception de produits finis et commercialisables. Écologie et toxicité Une des grandes différences entre ces deux matériaux est leur composition. Le PLA est un bioplastique composé d’amidons de maïs alors que l’ABS est un thermoplastique. Si vous êtes intéressé par un PLA écoresponsable, nous vous conseillons notre étude sur le Polyterra. Alors que l’ABS dégage des COVs et une odeur très forte pendant l’impression. PLA vs ABS : Conseils d’impression En termes de température d’impression, l’ABS nécessite une température de buse et de plateau plus élevé. L’ABS aura tendance à « warpper » ou à gauchir, ce phénomène est dû à plusieurs facteurs et nous verrons cela dans un autre article. Cependant, pour limiter ses risques le plateau doit chauffer entre 80 et 110°C et disposer d’une enceinte fermée ou d’un caisson pour imprimante 3D. Ces derniers aident à réguler la température lors de l’impression. Les vitesses d’impressions des deux matériaux sont quant à elles relativement similaires. Le mieux est de les adapter à la pièce que vous imprimez en gardant en tête que plus la vitesse est lente et meilleur sera le résultat. Pour le reste, nous vous conseillons de bien ventiler la pièce lors de l’impression de l’ABS pour éviter les particules toxiques le plus possible et nous vous recommandons une imprimante avec une enceinte fermée et filtrante comme les imprimantes 3D Raise3D. Ou alors d’utiliser un caisson pour imprimante 3D pour limiter les risques si votre imprimante n’en possède pas. PLA vs ABS : Budget Dernier point de comparaison entre le PLA et l’ABS : le coût. Une bobine de filament PLA de 1Kg coûte en moyenne autour de 25 à 30€, en filament ABS le coût sera relativement similaire. Bien sûr, cela dépend de chaque marque et de la qualité des filaments mais dans la globalité le prix d’un kilo de PLA ou d’ABS sera similaire. Un bon compromis aussi, est le PolyMax par exemple, un PLA renforcé qui prend des avantages des deux : PLA et ABS. Et supprime